Craignant une protestation massive, des renforts de la police ont été mobilisés en force. Tous les quartiers sont quadrillés par les services de sécurité, et toutes les structures publiques sont sous surveillance policière, a-t-on constaté. Le siège de la wilaya, quadrillé par un dispositif policier important, a été interdit au public, sauf pour les demandeurs autorisés à déposer des recours. Un père de famille en compagnie de sa femme et de ses deux enfants a installé un camp devant le siège de la wilaya, pour protester contre son exclusion de la liste des bénéficiaires.
Par ailleurs, des dizaines de postulants au logement social ont pris d'assaut le siège de la daïra. Sur place, des manifestants ont fait savoir que certains noms de bénéficiaires figurant sur la liste ne sont pas dans le besoin.
« C'est une injustice. Nous vivons dans des garages et dans des conditions inhumains », crient-ils, appelant le premier responsable de la wilaya à annuler la liste et procéder à l'ouverture d'une d'enquête sérieuse.
Un membre de la commission en charge du traitement des dossiers des demandeurs de logements, avait confié récemment à El Watan, que leur mission consiste à étudier seulement les demandes enregistrées au 31 décembre 2015. Selon lui, environ 11 597 dossiers ont été traités. Craignant une protestation massive, des renforts de la police ont été mobilisés en force. Tous les quartiers sont quadrillés par les services de sécurité, et toutes les structures publiques sont sous surveillance policière, a-t-on constaté.
Le siège de la wilaya, quadrillé par un dispositif policier important, a été interdit au public, sauf pour les demandeurs autorisés à déposer des recours. Un père de famille en compagnie de sa femme et de ses deux enfants a installé un camp devant le siège de la wilaya, pour protester contre son exclusion de la liste des bénéficiaires.
Par ailleurs, des dizaines de postulants au logement social ont pris d'assaut le siège de la daïra. Sur place, des manifestants ont fait savoir que certains noms de bénéficiaires figurant sur la liste ne sont pas dans le besoin.
« C'est une injustice. Nous vivons dans des garages et dans des conditions inhumains », crient-ils, appelant le premier responsable de la wilaya à annuler la liste et procéder à l'ouverture d'une d'enquête sérieuse.
Un membre de la commission en charge du traitement des dossiers des demandeurs de logements, avait confié récemment à El Watan, que leur mission consiste à étudier seulement les demandes enregistrées au 31 décembre 2015. Selon lui, environ 11 597 dossiers ont été traités.