– Lutte contre la criminalité : 1150 comprimés de psychotropes récupérés Dans le cadre de la lutte contre la criminalité, notamment la détention et le trafic de stupéfiants, les forces de police des sûretés de wilaya d'Alger ont mené «des opérations dans plusieurs quartiers de la capitale qui se sont soldées par la récupération de 1150 comprimés de psychotropes, une quantité de kif traité, des armes blanches. Ces opérations ont permis l'arrestation de 48 individus suspects impliqués dans ces divers délits», peut-on lire dans le communiqué rendu public par ce corps de sécurité. Notons que les mis en cause ont été arrêtés et traduits devant la justice. – Localités de Bordj El Kiffan : La majorité des routes ne sont pas goudronnées A Bordj El Kiffan, la majorité de rues et venelles qui se trouvent dans les lotissements d'habitation ne sont pas goudronnées. Cette situation pénalise les habitants qui, en cette saison hivernale, trouvent des difficultés à se déplacer à pied. En dépassant l'oued El Hamiz, à partir de Qahouet Chergui, le constat est ahurissant, car la plupart des ruelles secondaires ne sont pas goudronnées. Les habitants de ces quartiers, qui ont été érigés dans l'improvisation et le désordre, réclament depuis des années le lancement de travaux de revêtement en bitume de leurs lieux d'habitation. En empruntant l'une de ces ruelles, on est surpris par l'état des pistes qui ne sont pas praticables. En plus de l'absence de revêtement, la chaussée est pleine d'excavations que les habitants colmatent de temps à autre. En amont de l'école El Chafi, une rue montante sur le flanc droit de la route principale mène directement à un quartier qui se trouve au cœur de la localité de Haraga. Ce dernier est dépourvu de revêtement en bitume depuis sa création dans les années 1990. Outre l'absence de revêtement dans ces quartiers, les habitants de la localité font face à une multitude d'autres problèmes. «Notre quartier a été créé dans l'anarchie et le désordre. Aucune organisation n'a été prévue. Les lotissements ont été découpés de manière anarchique et sans étude préalable. C'est pour ça que nous nous retrouvons avec des ruelles plus étroites que d'autres. Dans certaines fractions, même les lampadaires empiètent sur la chaussée. Quant aux aménagements urbains, tels que les trottoirs, ils sont pratiquement inexistants. L'éclairage public manque également dans la plupart des rues», déplorent-ils.