Le président de la Fédération algérienne de football (FAF), Mohamed Raouraoua, comme attendu, a été élu 1er vice-président de l'Union arabe de football (UAFA), pour un mandat de quatre ans, lors du congrès électif tenu hier à Djeddah (Arabie Saoudite). En effet, c'est sans surprise que le patron de la FAF a été élu par ses pairs au poste de 1er vice-président après sa réélection haut la main au sein du bureau exécutif de l'Union arabe de football, qui est composé de huit membres, en récoltant le plus grand nombre de voix (18) par rapport aux 14 candidats en lice. Ainsi, Mohamed Raouraoua a été élu au poste de premier vice-président. Un poste pour lequel il a été proposé par l'émir Soltane Ben Fahd Ibn Abdelaziz, élu, lui, comme président de l'instance arabe pour un mandat de 4 ans (2010-2014) au cours de ce même congrès, et dont l'une de ses prérogatives est de proposer le nom de son premier vice-président, avant que les membres de l'assemblé générale le valident, comme le stipulent les règlements de l'instance footballistique arabe. Cette réélection de Mohamed Raouraoua pour un troisième mandat consécutif au sein du bureau exécutif de l'Union arabe de football (UAFA), qui est loin d'être une surprise, est aussi une réponse cinglante et un désaveu à la campagne médiatique de dénigrement menée par les médias égyptiens contre l'Algérie, en général et le boss de la Fédération algérienne de football (FAF) en particulier, car visant à barrer la route à ce dernier. Une réélection, somme toute logique, de Mohamed Raouraoua au vu de son énorme contribution au sein des différentes instances footballistiques internationales (CAF et FIFA) et particulièrement à l'échelle arabe.
