L'APC d'Ouzellaguen s'est montrée insatisfaite par l'arrêt de la chambre administrative de la cour de Béjaïa du 27 avril qui l'a déboutée dans le litige l'opposant à la famille Amokrane. Dans une déclaration adressée à notre rédaction, signée par son président, M. Rachid Beldjoudi, elle exprime son « grand étonnement et (sa) grande inquiétude quant à l'issue et au traitement expéditifs réservés à cette affaire ». Laquelle affaire qu'elle considère avoir été « jugée en contradiction parfaite avec les lois de la république ». Les arguments juridiques avancés font référence aux textes de 1990 régissant le foncier et à des arrêtés du wali. Aussi, le P/APC « interpelle l'ensemble des instances concernées à assumer entièrement leur responsabilité en vue de réserver un traitement juste et équitable à cette affaire et en vue de rétablir entièrement notre commune dans ses pleins droits ». Considérant avoir, ainsi, subi un préjudice, l'APC dit garder espoir que la justice puisse la rétablir dans ses droits « bafoués ».