Passerelle ou urinoir ? Les usagers empruntant les escaliers menant à la passerelle Mellah Slimane (ex-Perrégaux) subissent depuis quelque temps une agression olfactive caractérisée, due à une pratique chère à quelques-uns, celle d'utiliser lesdits escaliers comme urinoir, faisant fi des règles les plus élémentaires de civisme. La passerelle, relais stratégique entre la vieille ville et le quartier d'El Kantara, connaît une affluence des plus importantes, et la promiscuité des lieux additionnée aux pics de température de ce début d'été, n'arrangent pas les choses. Ce constat a été malheureusement établi par des touristes visitant la ville des Ponts. À méditer. Agression sur le pont suspendu Une étudiante a été victime, il y a quelques jours, d'une agression peu banale sur le pont suspendu de Sidi M'cid. En effet, alors qu'elle empruntait ledit pont, celle-ci s'est vue « escorter » par deux loubards, dont l'un, la menaçant d'un couteau, l'a sommée de continuer à avancer, « comme si de rien n'était », tandis que l'autre la délestait du contenu de son sac. Bien sûr, les passants, tout autant que les automobilistes, d'habitude si prompts à remarquer tout ce qui bouge, n'ont rien vu. Selon nos sources, cette agression n'est pas la première en ces lieux, et vu la facilité de l'opération, est loin d'être la dernière. Une promotion « mensongère » ? Il y a quelques mois, il était question d'une réduction de moitié de la facture de téléphone portable de l'opérateur étatique au profit des personnes affiliées à l'Organisation nationale des Moudjahidine (ONM) ou leur famille. Cependant, les bénéficiaires de cette mesure ont eu la désagréable surprise de recevoir des factures sans la réduction promise. Du côté de Mobilis, on nous a affirmé que cette erreur était due à un bug informatique, et que pour le moment l'opération était tout simplement gelée. De leur côté, beaucoup de clients sommés de payer la totalité de leur consommation ont tout simplement décidé de résilier leur abonnement.