Une décision de fermeture a été notifiée, il y a quelques jours, à la dernière salle des fêtes, située à la cité Rousseau, toujours en activité au mépris du bon sens et de la grogne citoyenne. Agacés par la situation induite par l'exploitation de salles devenues sources de conflits latents, beaucoup de riverains ont fait circuler des pétitions pour fustiger les gérants qui ne souscrivent pas aux clauses des cahiers des charges. Le DRAG qui dit : « inscrire cette mesure dans le cadre du renouvellement des contrats d'exploitation et du suivi d'activité limité à deux années », affirme qu'aucune salle désormais n'a d'existence légale au niveau du centre ville. Paradoxalement, cela pose le problème de la disponibilité des salles et l'annulation de beaucoup de cérémonies déjà programmées.