Nouvellement aménagée devant l'ancienne gare d'Alger, la station de transport urbain baptisée 2 Mai représente un véritable danger pour les passagers et les automobilistes empruntant l'avenue de l'ALN. Les usagers, qui se rendent ou quittent cette station, se voient obligés, faute de passerelle, de traverser la route. Un énorme embouteillage est ainsi créé tout au long de cette avenue surtout aux heures de pointe. Faudrait-il attendre des victimes pour monter une passerelle ?