«Nous nous attelons à trouver les éventuelles formules en mesure d'aplanir les contraintes qui nous compliquent jusque-là l'intégration des jeunes employés dans les différents dispositifs du pré-emploi», a tenu à nous préciser le wali. «Nous avons la première frange, elle concerne quelque 1706 employés issus des instituts et autres universités, pour celles-là l'opération d'intégration a légèrement avancé et a atteint les 41%, soit 700 qui sont retenus dans des postes durables. Pour la 2e partie, elle englobe 996 jeunes ayant suivi des stages de formation. Le processus d'intégration traîne et seulement 18% ont pu bénéficier d'un poste, soit quelque 180 cas. Et pour la dernière frange qui concerne pas moins de 1486 jeunes, les résultats restent insignifiants.» Dans l'ensemble, affirme le wali, «l'opération est au seuil de 25%» de taux d'avancement. Dans sa conclusion, le premier responsable de l'exécutif a rassuré ces jeunes quant à leur avenir en soulignant que l'administration fait des pieds et des mains pour dégager tous les postes vacants au niveau des 23 administrations et les 38 collectivités locales afin d'adapter leurs exigences et leurs conditions avec les potentialités. Advertisements