Ghacha est parti en Turquie gratos. L'ESS qui a permis au joueur de sortir de l'anonymat, de disputer une compétition continentale, d'être convoqué en équipe nationale des locaux et de donner un coup de fouet à sa valeur marchande est le grand perdant dans l'affaire. Arab puis Serrar n'ont pas jugé utile d'accompagner le contrat du joueur d'un avenant permettant au club de bénéficier d'un pourcentage dans tout transfert à l'étranger. Pour les dirigeants d'hier et d'aujourd'hui, l'intérêt de l'Entente – éternel dindon de la farce – n'est pas important. Pléthorique en non-dits, ce procédé impactera fortement la saison prochaine. En laissant partir Ghacha sans contrepartie financière, le comité directeur fera certainement autant avec les Djahnit, Bekakchi, Laribi, Debbari, Saidi, Berbache et Nemdil, libres de tout engagement. Advertisements