Les citoyens soutiennent qu'ils veulent des élus pour les écouter et prendre en charge leurs préoccupations et non pas pour se servir d'eux comme tremplin. Ami-chemin de la campagne électorale et à quelques jours du rendez-vous du 27 novembre, nous avons tenté de prendre le pouls des citoyens et connaitre leurs impressions sur les candidats aux élections des APC et de l'APW, version «Nouvelle Algérie». Les réactions étaient tantôt de l'indifférence, tantôt de l'incertitude et du scepticisme. On en a déduit que l'esprit tribal dans l'intention de vote est en passe de s'effacer du paysage pour laisser place aux compétences. «Comme à l'accoutumée, les élections locales ou législatives sont soumises au diktat de l'appartenance du candidat. Dorénavant, le critère n'est point en vigueur, pour moi en tout cas. Le citoyen est à la recherche d'un élu qui l'écoutera et prendra en charge ses préoccupations, et non pas d'un élu qui se servira de lui comme tremplin pour occuper un poste à des fins personnelles en lui tournant le dos et au reste des administrés», nous dira un trentenaire. Retrouvez l'intégralité de nos articles sur la version papier Advertisements