Le Matin n'a pas paru hier au centre du pays et ne reviendra sur les étals que lorsqu'il s'acquittera de ses dettes envers la société d'impression d'Alger (Simpral, étatique). Celles-ci sont évaluées, selon l'administrateur du journal, à 38 millions de dinars. Cette somme représente le retard de paiement des factures d'impression des mois de février, mars et avril.