La salle d'audience s'est avérée exiguë pour contenir les familles des victimes, celles des prévenus et les témoins. Sept personnes devaient être jugées pour « homicides involontaires, blessures involontaires et dégradation involontaire de biens d'autrui », six d'entre elles sont des agents de Sonelgaz et la septième, chef de service de l'OPGI. L'audience n'aura duré qu'une bonne demi-heure. L'absence de la société d'assurances de l'OPGI - l'une et l'autre structures étant civilement responsables - ayant été soulevée par le collectif des avocats de la défense, le juge a décidé du report du procès au 16 juillet prochain.