Boulmerka, El Kseur et la réconciliation nationale La championne olympique et du monde Hassiba Boulmerka se met à l'heure de la réconciliation nationale. Elle s'est rendue à El Kseur, là où les politiques ont échoué. Elle y a animé un meeting au cours duquel elle a appelé la population à soutenir le projet de la charte pour la paix et la réconciliation nationale. Elle s'est également engagée à prendre en charge les jeunes sportifs de la région. Mieux encore, elle a rencontré Ali Gherbi qui est un antidialoguiste. Qui dit mieux ? Notre championne semble allier parfaitement sport et politique. 500 journalistes devront couvrir le scrutin Près de 500 journalistes nationaux et étrangers devront couvrir le référendum sur le projet de charte pour la paix et la réconciliation nationale. Ce nombre « considérable » de journalistes dont les organes de presse ont sollicité l'accréditation, « reflète l'importance accordé à cet événement » qui a suscité un « grand intérêt » de la part des médias, tant en Algérie qu'à l'étranger, précise-t-on. Dans le souci d'assurer les meilleures conditions possibles à la presse, écrite et audiovisuelle, le CIP, mitoyen à l'hôtel Aurassi, non loin du centre d'Alger, met à la disposition des médias, en plus de ses deux annexes, à la Safex (Pins Maritimes) et au Club des Pins (Palais des nations), des espaces aménagés au niveau de son siège central. Les étudiants face à une bureaucratie exaspérante La nouvelle rentrée universitaire ressemble aux précédentes lorsqu'il s'agit des inscriptions. Les étudiants, anciens et nouveaux, se trouvent face à une bureaucratie qui exaspère en certains endroits. En effet, une virée au niveau de quelques campus nous édifie sur les problèmes que rencontrent les étudiants lorsqu'il s'agit d'une réinscription, d'un transfert où d'un dossier de bourse. Bureaux fermés, employés absents, administratifs expéditifs, affichage incomplet et par moment illisible, soit autant d'impairs qui ne facilitent nullement la rentrée pour plusieurs étudiants. Chute mortelle du 4e étage Un citoyen, maçon de son état, a chuté hier en début d'après-midi depuis le quatrième étage d'un bâtiment en cours de réalisation, dans la commune de Aïn Bouchekif, 17 km à l'est du chef-lieu de wilaya de Tiaret. Une chute violente qui provoqua une mort sur le coup et le transfert de son corps au service de médecine légale des UMC de l'hôpital Youssef Damerdji. La victime Yahia Mahmoud, 47 ans, habite Tiaret à la cité Volani. Suicide dans un commissariat à Sétif Le commissariat central de la sûreté de la wilaya de Sétif a été, mardi dernier ébranlé par le suicide d'un fonctionnaire de la police qui s'est donné la mort avec son arme de service. Le policier qui devait entamer à partir de 19 heures sa permanence, a mis fin à ses jours une fois terminée la communication téléphonique de son portable. Les soins prodigués par ses collègues n'ont pu sauver le policier ayant pointé l'arme vers le cœur. Les services ont par la suite ouvert une enquête pour déterminer les tenants et les aboutissants d'un tel drame ayant endeuillé la famille de la victime, laquelle a laissé derrière elle, une veuve et trois orphelins. 100 000 touristes étrangers ont visité la wilaya de Tébessa Plus de 100 000 touristes étrangers ont visité la wilaya de Tébessa durant les neuf premiers mois de cette année. Les étrangers en provenance de l'Europe, des Etats-Unis d'Amérique et également du Maghreb ont rallié Tébessa en passant par les quatre postes frontaliers de la wilaya. 500 000 touristes nationaux se sont également rendus dans la wilaya, lors de la même période. La région de Tébessa, rappelle-t-on, recèle d'importantes potentialités archéologiques et touristiques, datant de l'ère numide à la civilisation musulmane, en passant par les périodes phénicienne, romaine, byzantine et vandale.