Une fois de plus, l'organisation du stade du 1er Novembre de Tizi Ouzou a montré ses limites dès lors que l'évènement est de taille. Une fois de plus, cette organisation a failli et les responsabilités de la direction de l'OPOW sont engagées particulièrement dans la prise en charge de la presse. Une corporation qui est reléguée au second plan des soucis de cette direction, à tel point que les journalistes et correspondants de presse se retrouvent malmenés à l'entrée du stade où ils sont obligés de jouer des coudes avec des voyous pour se frayer un passage dans cette cohue pour accomplir leur mission d'information, et ce, au risque de leur corps et de leurs biens. Comme ce fut une fois de plus le cas lors de ce JSK-USMA où, arrivés une heure avant la partie, les journalistes avaient trouvé des portes closes avec en sus du mépris. Alors que par le passé, un accès spécial pour les journalistes était réservé. Il faut dire aussi qu'une fois arrivé dans les cabines de presse, c'est un autre combat à mener avec les indus occupants. Aux journalistes, il est exigé le port d'un gilet de presse, alors que ces personnes occupent en toute quiétude leur espace. Dès lors, il est plus qu'urgent à ce que la presse reçoive plus d'égard dans les stades pour exercer sa tâche convenablement.