-Un agent de la protection civile trouve la mort sur la RN14 Un agent de la protection civile de l'unité de Theniet El Had, âgé de 56 ans, a trouvé la mort suite à un accident survenu, jeudi, à 17 h sur la RN 14 à quelques encablures de la commune d'El Youssoufia. La victime a été percutée de plein fouet par un semi-remorque qui transportait des matériaux de construction. -Un accident a coûté la vie à un directeur de collège Un accident de la circulation a eu lieu, la semaine passée, aux environs de 17 heures sur la RN 14 menant vers Alger. L'accident en question a coûté la vie du quinquagénaire nommé Chaâchoua Ahmed, directeur d'enseignement moyen au collège de Selmana dans la commune de Layoun. Le défunt est marié et père de 7 enfants tous en bas âge. Le drame a eu lieu lorsque le conducteur du Master fourgon en direction d'Alger, n'ayant pas pris en compte les rayons du soleil qui, comme à l'accoutumée rabaissent à 80% la vision, est entré en collision avec le «Partner» de la victime venue en sens inverse. Pour rappel, 2 morts et 19 blessés, tel est le bilan des 15 accidents de la circulation enregistrés durant le mois dernier. -Chute mortelle d'un ouvrier Un ouvrier âgé de 30 ans a trouvé la mort, jeudi matin, suite à une chute mortelle du haut du troisième étage d'une bâtisse en chantier. Lors de son évacuation vers l'Etablissement Public hospitalier de Bordj Bounaâma, à une trentaine de km du chef-lieu de la wilaya, la victime a rendu l'âme. Aussitôt une enquête policière a été ouverte pour élucider les circonstances de la mort. -Arrêté avant d'écouler ses 300 g de kif Lors d'un barrage dressé sur la RN19, la brigade mobile de la police judiciaire (BMPJ), relevant de la daïra de Lardjem, a pu saisir une quantité de 300 g de kif.Le mis en cause a été présenté au juge d'instruction près le tribunal de Bordj Bounaâma qui l'a placé sous mandat de dépôt.Selon les habitants de Lardjem, la localité était une véritable tanière aux voleurs toutes catégories confondues. «Nous avons vécu l'enfer de sorte que les familles ne s'aventuraient pas à effectuer des visites afin de ne pas exposer leurs demeures au pillage ou autres actes de vandalisme, à moins de payer à prix fort un gardiennage forcé», signale un quinquagénaire.