Arbitrage : Mehidi, Aïssani, Himoudi. Averts : Khellaf (CSC). Mjeukam, Harkas, Mezouar (CRB). CSC : Belhani, Derrahi (Sedrati F.), Khesrani, Sedrati Z., Tibermacine, Belhamel, Khellaf, Fenier (Bouferma), Medjoudj, Bouferma, Laâmèche (Chouieb). Entr. : Haniched. CRB : Mjeukam, Mekhalfi, Boukedjane, Bounekdja, Ouasti, Harkas, Laifaoui, Mezouar, Bounab, Rouaighia (Chache), Amroune. Entr. : Bakhti La partie disputée par les Sanafir et les Belouizdadis n'a pas été à la hauteur des espérances des milliers de supporters venus en nombre regarder ce qui était supposé être un match choc. Les 22 joueurs peu engagés sur le terrain se créèrent peu d'occasions dignes d'être mentionnées. En effet, la partie aurait pu tout de même connaître une autre physionomie si Mezouar avait pu concrétiser à la 6'. Après une échappée, ce dernier seul face au but clubiste se fait subtiliser le ballon par Belhani. Même l'ex-Clubiste Amroune servira ses camarades à plusieurs reprises par des passes lumineuses, mais Rouaighia, dans un jour sans, n'en exploitera aucune. Pendant ce temps, l'attaque clubiste s'était heurtée à un mur belouizdadi infranchissable formé de Bounekdja, Boukedjane, Mekhalfi, Ouasti et Laifaoui, rien que cela ! Et les tentatives d'incursion de Bouferma et Fenier seront étouffées loin de la cage à Mjeukam, dont on a oublié l'existence, tant il n'a été sollicité que de rares occasions. Puisque mis à part le bon coup franc botté par Laâmèche et dévié de la tête par Derrahi où le ballon ira effleurer la barre transversale, alors que trois minutes plus tard le bolide envoyé par Belhamel suivra la même trajectoire. La deuxième mi-temps fut semblable à la première où les joueurs évoluèrent sans conviction au grand dam des spectateurs, dont la colère était perceptible à la sortie du stade.