Faisant partie du programme complémentaire du président de la République dans le cadre de l'amélioration du cadre de vie et datant de l'année 2003, un projet de réhabilitation des routes du village Bordj Sabath, à une cinquantaine de kilomètres de Guelma, se fait toujours attendre. Selon certains responsables de la commune, ce projet devait être réalisé par une entreprise locale, mais comme celle-ci pour une raison financière ne pouvait le faire, le contrat a été résilié et depuis les avis d'appel d'offres auront été infructueux. Résultat : les routes sont dans un état de dégradation extrême, et les habitants redoutent encore les désagréments devant être désastreux durant l'hiver. Deux années après l'inscription du projet, les promesses des responsables, notamment lors de la campagne sur la réconciliation et la paix, sont nombreuses, mais lui reste en l'état. D'un coût d'un peu plus de 10 millions de dinars, le projet englobe aussi bien la chaussée de Bordj Sabath que celle de la mechta El Louzet, à 5 km de là.