Le talweg des Ouadhias qui reçoit toutes les eaux usées du chef-lieu représente une source de pollution pour l'environnement et cause des désagréments aux riverains. A ce sujet, un quadragénaire qui habite non loin des lieux tempêtera : «Nous avons l'impression d'habiter prés de Oued El Harach. Les mauvaises odeurs, les rongeurs, les moustiques nous empoisonnent l'existence. Il est temps que les responsables concernés fassent quelque chose. Autrement nous serons amenés à déménager». Pourtant, un projet de réalisation d'un ovoïde de 1,6 km_ a été inscrit pour la localité. Les travaux devaient, selon une source locale, débuter cette année. Hélas ce n'est pas le cas. Notre source croit savoir que l'entame des travaux est reportée pour l'année prochaine. «Mais jusque-là, rien d'officiel», notera t-il. De toutes les manières, ce projet d'ovoïde apparaît comme une véritable urgence.