-Espaces publics : Un colloque international à Oran Un colloque international intitulé «Les espaces publics au Maghreb : au carrefour du politique, du religieux, de la société civile, des médias et des NTIC» se tiendra du 15 au 17 mars prochain à Oran. Les organisateurs de la rencontre scientifique précisent que la thématique générale porte sur les différentes figures de l'espace public dans les trois pays du Maghreb (Algérie, Tunisie et Maroc). La rencontre scientifique est organisée par la division socio-anthropologie de l'histoire et de la mémoire du Centre national de recherche en anthropologie sociale et culturelle (Crasc) et le laboratoire Dirasset de Tunis, avec le soutien de la fondation Hanns Seidel. -100 locaux par commune : 30% devraient revenir aux femmes L'Association des femmes algériennes chefs d'entreprise (SEVE) a recommandé, hier à Alger, de réserver 30% des 100 locaux par commune au profit des femmes. «Les femmes ont beaucoup d'idées en matière de création de projets d'activité économique, mais le problème de local se pose avec acuité. D'où la nécessité de réserver un taux de 30% des 100 locaux par commune aux femmes», a préconisé Mme Yasmina Taya, présidente de l'association SEVE. Cette association prévoit d'organiser 13 rencontres de formation pour les femmes au cours de l'année 2011 dans plusieurs wilayas du pays, avec l'appui du Centre d'initiatives et recherches européennes pour la Méditerranée (Cirem). -Bordj Bou Arréridj : Un jeune homme s'immole par le feu L. Abderrazak, 25 ans, est mort, hier en fin d'après-midi, au service des urgences de l'hôpital Bouzidi Lakhdar de Bordj Bou Arréridj, où il avait été admis une heure après s'être aspergé de diluant et avoir mis le feu à son corps devant le siège de la wilaya. Malgré la rapidité des agents de sécurité et des fonctionnaires à éteindre le feu, et l'évacuation de la victime par la Protection civile au service des urgences de l'hôpital, le jeune homme a été, selon une source médicale, brûlé au 3e degré. Les services de la police judiciaire de la sûreté de wilaya ont ouvert une enquête sur les circonstances de ce drame. Selon une source de la wilaya, le jeune s'était rendu au bureau du médiateur, qui l'avait reçu pour un problème de récépissé de dépôt de carte d'identité à la daïra de Medjana, lequel récépissé était sans photo. Le jeune homme en demandait un avec photo pour pouvoir se déplacer à Alger.