-16 ponts seront réhabilités La direction de wilaya des travaux publics lance un vaste programme de réhabilitation de seize ponts répartis à travers les différents quartiers de la ville, apprend-on de source concordante. Cette opération, qui a déjà débuté au niveau du pont à Gambetta, est dotée d'une enveloppe financière de l'ordre de 20 milliards de centimes. Le projet de réhabilitation porte essentiellement sur les travaux d'entretien et de confortement de l'ensemble des ouvrages d'art. Selon notre source, les travaux vont cibler prioritairement les ponts dont les études techniques ont été finalisées. Il s'agit des ponts situés à El Barki, Gambetta, Hôtel Houna et celui situé à proximité du siège de la wilaya. -6381 fellahs concernés par la reconversion Le nombre d'agriculteurs concernés par l'opération de reconversion est de l'ordre de 6 381 fellahs, selon une source proche de l'Office de wilaya des terres agricoles. L'étude des actes de reconversion du droit de jouissance des EAC et EAI en concession, lancée en septembre dernier à Oran, enregistre un rythme avancé, annonce-t-on de même source. Ainsi, quelque 2750 dossiers concernés par cette opération de reconversion ont été étudiés à ce jour, soit environ 50% du nombre global. -Publications : Un roman sur Lalla Setti La romancière Rafia Mazari, qui est praticienne de santé de profession, vient de consacrer son dernier ouvrage à la présentation du site panoramique «Lalla Setti» de Tlemcen. L'ouvrage, intitulé «tlemcen… ou l'étrange appel universel», est le onzième du genre entre romans, recueils et manuscrits et autres publications à caractère culturel et éducatif. Son dernier roman, selon l'auteur, vient ainsi apporter contribution à l'évènement de cette année : «Tlemcen : Capitale de la Culture Islamique». Dans ce roman, Rafi Mazari, s'adonne à l'écriture depuis ces trois dernières décennies, fait un tour d'horizon descriptif en sa qualité d'adolescente du terroir et patrimoine social et tradition de la ville de Tlemcen, l'ancienne Capitale des Zianites. Concernant son dernier roman sur la sainte «Lalla Setti», la romancière écrit que «Les familles de la région continuent à lui vouer une journée au printemps, en rite et waâda». Cette fête d'offrandes collectives, ajoute-t-elle, «était, d'après une croyance, une dîme due à la sainte qui arrosait de ses hauteurs toute la vallée». En effet, on prétendait que l'eau qui dévalait sur Tlemcen prenait sa source entre les «Sekhratine» constituées par les deux rochers en contrebas du plateau de «Lalla Setti».