-L'intelligence économique en débat La 5e édition du Colloque international sur l'intelligence économique aura lieu les, 23 et 24 mai, à l'hôtel El Riadh d'Alger. Organisé par l'entreprise LOGE (www.loge-dz.com) et NT2S (www.nt2s.net), en partenariat avec le ministère de l'Industrie, de la PME et de la Promotion de l'investissement, ce colloque a pour thème : «De la société des savoirs à l'économie de l'intelligence : les méthodes et les outils pour cerner, optimiser et relever les défis de la mondialisation et de la globalisation». Selon Sofiane Saâdi, un consultant international en management : «L'intelligence économique sert à maîtriser et formater l'environnement à l'avantage de l'entreprise.» Selon lui, nous devons produire plus d'informations écrites qu'orales «pour pouvoir mieux les archiver et aider les managers à prendre des décisions rapidement, mais sans précipitation.» -Un acte insolite à Tipasa Cela s'est passé dans l'après-midi de mardi dernier au centre-ville de Tipasa. Un policier motard, de grade de brigadier, ordonne, après le salut, au conducteur du véhicule de marque Renault Clio de s'arrêter à droite, afin de ne pas provoquer d'encombrement. Le conducteur n'avait pas mis sa ceinture de sécurité. Sur sa moto, le brigadier demande les papiers du véhicule. Surprise, le conducteur s'est avéré être un motard. Donc, un collègue ! En effet, le conducteur du véhicule portait son uniforme de policier et tentait de se justifier. Une courte discussion s'ensuivit. Le motard brigadier de police de Tipasa, tenant dans sa main un document et le permis de conduire de son «collègue» pris en défaut, invite calmement le conducteur à le suivre à la sûreté de wilaya. Nous ignorons la suite de cet acte insolite de ce policier motard, qui méritait d'être souligné. -La police absente de Staouéli Un excité est en train de semer la terreur dans la paisible ville de Staouéli. Armé d'un couteau de boucher, il menace les passants. Parfois, il circule avec un marteau avec lequel il casse les pare-brise des voitures en stationnement. Dernier délit en da te, il a couru derrière sa mère avec un couteau et, n'était l'intervention des citoyens, il l'aurait peut-être tuée. Ce repris de justice notoire n'est pourtant pas inquiété. La police, qui n'hésite pas à tabasser nos étudiants en médecine et à violer une enceinte universitaire — et l'hôpital Mustapha en est une —, se montre incapable de neutraliser un truand devenu un véritable danger public. -Arrestation d'une Tunisienne en possession de faux billets à Annaba Les éléments de la brigade des recherches et d'investigation (BRI) de la sureté de wilaya de Annaba ont arrêté, avant-hier, en fin d'après midi, une femme d'origine tunisienne en possession d'une liasse de 20 000 DA en fausses coupures de 1000 DA. Agée de 30 ans, sans papiers d'identité, elle a été trahie, selon des sources sécuritaires, par son comportement suspect alors qu'elle déambulait en djellaba à la rue Larbi Tébessi (Ex général Bouscarin), en plein centre ville de Annaba. Repérée par les éléments de la BRI, elle a été interpellée avant d'être embarquée pour absence de papiers d'identité. Dans les locaux de la police, la fouille a permis de mettre la main sur une liasse de 20 000 DA en faux billets de 1000 DA soigneusement dissimilé dans son sac à double fond. Sur le PV de son audition, elle s'est déclarée de nationalité tunisienne qui a fui son pays pour des raisons sécuritaires. Une version qui ne semble pas convaincre les enquêteurs. En effet, ils ont décidé d'ouvrir une enquête sur la possibilité de l'existence d'un réseau international de faux monnayeurs, dont la femme tunisienne représenterait un de ses maillons.