Les quartiers, à l'image de Béni Boublène et Haï Ouali, ont bénéficié de projets permettant l'amélioration du cadre de vie des citoyens. La commune de Mansourah, dans le Grand Tlemcen, enregistre des avancées dans tous les domaines de développement. Peuplée de 70 000 habitants, cette agglomération a changé de visage depuis ces trois dernières années. Les quartiers, à l'image de Béni Boublène, Haï Ouali où une nouvelle annexe d'APC et une maison de jeunes viennent d'être ouvertes, Haï El Moudjahidine, Imama, entre autres, ont bénéficié de projets qui ont permis l'amélioration du cadre de vie des citoyens. À commencer par le raccordement en gaz de ville, le renforcement et l'extension de l'alimentation en eau potable, le renforcement de l'éclairage public, le revêtement des routes en bitume et en pavés (une première pour Haï Ouali, particulièrement), la réhabilitation des anciens escaliers, avec des rampes… mais ce qui a, aussi, suscité la satisfaction de la population de Attar, c'est le raccordement en gaz de ville à plus de 3 00 foyers. Les jeunes n'ont pas été oubliés du programme puisque trois terrains de jeu ont été aménagés à Mansourah. Pour l'embellissement de la ville, 1 600 arbres ont été plantés (des palmiers, entre autres) en plus du gazon à travers les quartiers. À Imama, beau quartier, il a été réalisé un gros ouvrage de stockage d'eau, en plus de la réalisation de deux immenses jets d'eau, de trois stèles et d'une fresque. Des travaux d'entretien en cours Outre le renforcement de l'éclairage public des boulevards, des trottoirs ont été réhabilités. La cité Zouad, longtemps marginalisée, a eu son lot de développement (extension d'éclairage public, assainissement et AEP). Le P/APC, M.Hocine Belachoui, affirme: «Nous recevons quotidiennement les citoyens. Je tiens à informer nos citoyens que tous les quartiers de notre commune ont eu leurs projets de développement sans discrimination». Il déplore, cependant, le fait que certaines entreprises publiques et privées abandonnent leurs travaux pour des raisons inconnues. Ce qui crée une situation de déliquescence dans la cité. L'élu renchérira: «Les travaux pour un cimetière de 8 ha sont en cours à Imama». Et d'interpeller les citoyens: «Notre souci majeur, c'est l'incivisme. Des personnes jettent les ordures ménagères sans scrupules. Des entreprises abandonnent leurs détritus et leurs gravats. Nos camions n'ont pas résisté face à cette inconscience» et d'appeler à plus de civisme…