Les deux principales entrées de la capitale connaissent d'interminables embouteillages. En arrivant par l'autoroute qui longe le littoral, les automobilistes se retrouve coincés dans des bouchons des heures durant. De Bab Ezzouar jusqu'à proximité du pont des Bananiers où est installé un barrage permanent de la police, les automobilistes sont contraints de rouler à petite vitesse dans des files de plusieurs kilomètres. En dépassant le barrage des Bananiers, la circulation routière retrouve un semblant de fluidité pour s'encombrer ensuite à l'approche du deuxième barrage situé à proximité du port. La rocade sud, quant à elle, n'échappe pas à cette situation. Une importante congestion routière caractérise cet accès de la capitale, du fait de l'existence de deux barrages, le premier se trouve avant la bifurcation du Gué de Constantine, le deuxième au niveau de la bretelle de Bachedjarrah. Entre le premier barrage et le deuxième il y a à peine 600 m. Aussi les travaux qui sont menés actuellement sur l'autoroute, au niveau de Saïd Hamdine ralentissent la circulation qui se retrouve encombrée sur plusieurs kilomètres.