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Des heures d'attente au passage d'un barrage
Circulation routière
Publié dans Le Temps d'Algérie le 16 - 01 - 2011

Le barrage de contrôle routier, situé sur la voie rapide Réghaïa-Boudouaou, est devenu au fil du temps un véritable calvaire pour les automobilistes et les voyageurs qui souhaitent prendre la destination du centre-ville de la capitale ou de le quitter.
Ce problème d'encombrement de la route, aux alentours de la ville pourrait s'inscrire dans la durée. Les automobilistes qui fréquentent cette route sont devenus «otages» des files interminables et des embouteillages en raison de ce barrage. Ils subissent en effet un véritable calvaire, puisqu'ils doivent parfois attendre 7 heures pour voir la circulation redevenir fluide. «C'est depuis l'installation de ces barrages que nous vivons le calvaire pour aller vers Alger», dira Makhlouf, un camioneur tenu de faire la navette entre la capitale et le sud du pays.
Pour Akli, un médecin travaillant à Sétif et demeurant à Alger : «Depuis quelques mois, la circulation est devenue infernale sur plusieurs axes routiers du pays, notamment à proximité d'Alger. pour les journées de fêtes, les responsables concernés pourraient fournir un petit effort pour une meilleure fluidité. Pour preuve, j'ai pris le départ de Beni Amrane à 17 heures, j'étais à Tidjelabine à 19h, je suis arrivé chez moi au Caroubier, dans la banlieue d'Alger, à 22 heures». «Cinq heures pour un trajet de 50 kilomètres sur une autoroute, c'est un désastre», assure-t-il.
Plusieurs automobilistes mettent en cause les barrages de police et notamment ceux de la gendarmerie installés sur l'autoroute entre Alger et Beni Amrane, dans la wilaya de Boumerdès. Les points de contrôle sont constitués d'obstacles (barrières) en fonction de la dimension du véhicule. Cette manière de procéder provoque des bouchons interminables qui s'étendent sur plusieurs kilomètres. Toutes les voies sont occupées par des voitures, poids-lourds, autocars... La bande d'arrêt d'urgence et l'accotement sont également bloqués.
Aucune issue possible pour les ambulances et la protection civile alors qu'elles ont la priorité eu égard à la sensibilité de leurs interventions sur le terrain (transfert de blessés à cause des accidents). Automobilistes et passagers sont excédés et ne comprennent plus l'utilité de ces barrages fixes installés sur l'autoroute, sans aucune mesure de sécurité. Les klaxons des automobilistes en question ne servent à rien.
Entre Alger et Lakhdaria dans la wilaya de Bouira, quatre barrages fixes de la gendarmerie rendent la circulation trop lente sur l'autoroute Est, seul axe routier reliant la capitale à l'est du pays. A chaque barrage, les automobilistes patientent en moyenne 30 minutes, si ce n'est plus, avant de sortir des bouchons. Seulement et à la surprise de tous, au niveau des barrages, c'est le comportement des gendarmes qui surprend. Souvent, ce sont deux gendarmes qui assurent le contrôle de milliers de véhicules.
Enfin, dans ce contexte, beaucoup d'automobilistes et usagers des transports en commun s'interrogent sur le rôle exact de ces points de contrôle. Sont-ils destinés à seulement contrôler les voyageurs et sécuriser la capitale ?


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