Le stade communal attend réparation L'olympique Nath Irathen (ONY) et l'Irathen Sport Féminin (ISF), deux associations sportives, spécialisées dans la formation en football, interpellent les autorités locales de Larbaâ Nath Irathen sur la dégradation et l'insalubrité caractérisant le stade communal de ce chef-lieu de daïra, situé à l'entrée Sud de la ville. Ces associations estiment que le piteux état de cet équipement sportif est dû à l'absence de sa prise en charge par la collectivité locale. Tellement accidenté et crevassé par les eaux pluviales, le terrain est devenu en effet quasiment impraticable pour le jeu de football. De plus, ces deux écoles de football de Larbaâ Nath Irathen éprouvent des difficultés depuis la fermeture du portail d'entrée aux tribunes, car des personnes étrangères investissent fréquemment le terrain et perturbent le bon déroulement des entraînements des jeunes athlètes de ces associations sportives. Ces dernières font également part de leur inquiétude quant au danger que présente pour leurs élèves le caniveau situé à côté du petit terrain servant aux exercices d'échauffement, car n'étant plus couvert par des dalles ou grilles nécessaires. Une insalubrité totale est constatée également dans les vestiaires de ce stade, jonchés de détritus en tous genres (canettes et bouteilles de bière ou de vin vides), surtout que leurs portes ne se ferment plus. Devant cet état de fait, le vice-président de l'ONY en appelle aux élus locaux pour opérer une réfection du terrain avec du tuf, un aménagement du nouveau vestiaire, en réparant son éclairage et en lui assurant un gardiennage.
A quand l'évitement de la ville ? Les automobilistes entrant par le côté Sud de la ville de Larbaâ Nath Iraten, souffrent le calvaire des embouteillages, notamment aux heures de pointe et à l'occasion de fêtes diverses. Les bouchons sont dus à l'afflux de véhicules, avec de surcroît l'exigüité des voies de circulation, sachant que la ville de Larbaâ constitue un transit inévitable entre la basse et la haute Kabylie. Ainsi, un tronçon d'environ 2 km, sur la RN 15 traversant ce chef-lieu de daïra, allant du village Aguemoun à l'entrée de Larbaâ, se transforme quasiment tous les jours en un véritable goulot d'étranglement. Sur ce point, un élu à l'APC nous dira qu'un projet de voie d'évitement de la ville de Larbaâ Nath Iraten a été proposé à la direction de wilaya des travaux publics (DTP). Sa réalisation devrait se concevoir depuis l'entrée Sud de Larbaâ, en rejoignant la RN 15, pour aboutir vers la sortie Est du centre urbain.