Lors de sa virée à Adrar, Boudjemâa Haïchour a souligné l'importance de l'opération Oustratic qui connaît quelques lenteurs et des hésitations à peine voilées des banques. « Il s'agit d'une grande initiative qui a été mûrement réfléchie. Il y a eu concertation avec les différents partenaires qui doivent nous accompagner dans cette opération », dira-t-il. Il a rappelé certaines vérités en affirmant qu'il y a eu une réunion consignée dans un accord-cadre, engageant tous les partenaires dans cette opération qui doit se dérouler dans 5 ans. Où se situe le blocage ? Le ministre a tenu à préciser que « ce n'est pas une mauvaise volonté des banques, c'est un aspect prudentiel ». Le ministre a annoncé que les banques se sont récemment réunies à l'ABEF et que, mardi, une rencontre aura lieu entre les banques et les sociétés d'assurance pour que ces dernières étudient la possibilité de couvrir 50 % des projets. « En deux mois et demi, on ne peut pas évaluer cette opération qui a une portée importante et permettra d'arrimer l'Algérie à la société de l'information. »