Alphadi. Styliste nigérien et initiateur du FIMA. Nous nous sommes concentrés cette année sur le rassemblement des énergies créatives pour donner aux étudiants de la future école de mode la possibilité de s'émanciper et s'imposer mondialement. Imane Ayssi. Styliste camerounais. Quand des créateurs africains décident d'exporter leurs modèles à l'étranger, ils sont obligés de s'adapter aux normes occidentales. Le FIMA recadre cette tendance et offre la possibilité aux stylistes du continent de s'affirmer selon les normes africaines. Ava Kamara. Styliste sénégalaise. Ma collection est un mélange de tissus africains traditionnels à des bijoux de toutes sortes, qui mettent en valeur la jeune femme africaine moderne. Le FIMA donne au monde une vision juste de la création actuelle en Afrique. Ali Sauka. Mannequin angolais. Je crois que je suis le plus heureux de cette édition du FIMA, car j'ai gagné le premier prix top-model homme ! Jedda-Kahn Blue-El. Styliste new-yorkais. Etre à Niamey est déjà un exploit en soi, et participer à ce show autour de la mode africaine est absolument magnifique pour moi. D'habitude j'assiste à des fashion weeks à l'étranger, mais ici, c'est si authentique, une expérience enrichissante ! Alex Wamba. Styliste camerounais. Pour ma part, ce fut une reconnaissance de mon travail par des professionnels et des noms reconnus mondialement. Une valeur ajoutée à mes créations. Irem Parvez. Styliste franco-indienne. J'avais hâte de voir la tête du public en découvrant ma collection. J'imagine que tout le monde s'attendait à voir défiler des saris indiens ! Ma collection est différente de mes origines mais le principe était de rendre hommage à l'Afrique. Marta Gouandjika. Styliste centrafricaine. Moi qui voulais lancer mon entreprise, me voilà heureuse de recevoir le premier prix du meilleur jeune styliste. Ce sera un très bon début de carrière.