-Le terrorisme islamiste frappe encore Une sexagénaire a été grièvement blessée suite à l'explosion d'une bombe dimanche dernier à Ihsamen dans la wilaya de Boumerdès. La veille, trois collégiens ont été blessés dans l'explosion d'une bombe artisanale à Tigzirt dans la wilaya de Tizi Ouzou, et ce, deux jours seulement après l'attaque qui a ciblé le siège de la garde communale en construction dans la même localité. -Madani et Benhadj menacent Les anciens membre de l'ex-FIS ont «mandaté des avocats pour porter plainte auprès des institutions internationales judiciaires et des droits de l'homme contre son exclusion de la vie politique en Algérie», annonce un communiqué publié mercredi sur le site électronique du FIS dissous, signé par Abassi Madani et Ali Benhadj. -Ça a chauffé cette semaine ! Rassemblement, marches, établissements occupés ou encore routes barrées, Boumerdès, Bouira, Tipaza, Mila et Béjaïa ont grondé cette semaine. Chômage, manque de gaz et d'eau potable ou encore relogement constituent les principaux déclencheurs. Dès dimanche soir, plusieurs personnes ont bloqué la RN26 dans la localité de Hellouane pour protester contre l'attribution de 64 logements. -La zone industrielle de Rouiba en colère Empêchés de marcher jusqu'au siège du ministère du Travail par un important dispositif de sécurité, les travailleurs de la zone industrielle de Rouiba se sont attroupés par centaines, lundi passé, face à la centrale syndicale UGTA, place du 1er Mai à Alger. La liberté d'exercice du droit syndical, la réintégration de travailleurs licenciés et le départ des cadres retraités et qui sont toujours dirigeants constituent les trois principales revendications des travailleurs. -La terre a tremblé Un tremblement de terre de magnitude 3,6 sur l'échelle ouverte de Richter s'est produit mardi dans la wilaya de M'sila. L'épicentre du tremblement de terre qui s'est produit à 19h36 a été localisé à 11 km au nord-ouest de la ville de M'sila. -Déclaration sur le principe de non-ingérence La pétition, qui compte déjà pas moins de 200 signataires algériens, est une réponse à l'interpellation de Khaled Nezzar en Suisse suite à une plainte déposées par deux ex-membres du FIS. Les signataires contestent la nature de l'interrogatoire de M. Nezzar et y voient une atteinte à la souveraineté du pays et une remise en cause du principe de légitime défense lors de l'arrêt du processus électoral en 1992. Une décision applaudie à l'époque par la communauté internationale.