Madani contre Madani. La dernière sortie de Abassi Madani, l´ancien président de l´ex-FIS, qui profitant de la dernière saisine du Comité des droits de l´homme de l´ONU, a sollicité l´Etat algérien pour «rétabir dans ses droits» son adjoint Ali Benhadj, qui avait appelé le peuple algérien à boycotter les prochaines élections locales, sans omettre d´exprimer son soutien à l´initiative du trio Aït Ahmed-Mehri-Hamrouche, n´a pas été du goût de l´ancien émir de l´AIS, Madani Mezrag. Pour ce dernier, «Abassi Madani devra assumer seul ses propos». Comme quoi, et comme dans le film Kramer contre Kramer, le divorce est consommé.