-Route nationale n° 24 : des travaux qui s'éternisent Les travaux entrepris actuellement sur la RN 24, renseignent sur le peu d'intérêt qu'accordent les responsables aux aspects ayant trait à la programmation et à la coordination entre les différents intervenants. A chaque fois que les travaux tirent à leur fin, d'autres interviennent et finissent par altérer les aménagements existants. «A peine le revêtement réalisé, d'autres travaux pour l'installation des canalisations souterraines ont été entrepris», affirme un usager de la route. A partir du quartier Eddoum jusqu'à la SNTR, la chaussée a été littéralement labourée. Ce qui n'est pas sans dommages pour les automobilistes qui peinent à franchir les excavations laissées par ces travaux tout au long de cet axe routier névralgique. -Raïs Hamidou : des foyers non raccordés au gaz naturel Les habitants de la localité Plateau, sur les hauteurs de la commune de Raïs Hamidou, demandent le raccordement de leur foyer au réseau de gaz de ville.Ils affirment avoir longtemps attendu ce projet dont la concrétisation n'a que trop tardé, malgré les promesses des autorités locales.En fait, plusieurs habitations de cette commune restent à ce jour sans le raccordement au réseau de gaz naturel, dont des cités construites depuis de longues années. Des habitants estiment que ce projet est d'une grande importance et va éviter moult désagréments aux citoyens. Ces derniers se rappellent toujours la pénurie de la dernière saison hivernale et le casse-tête pour se procurer une bonbonne de gaz butane. -Frais vallon (El Biar) : une famille expulsée au lot Florence Trois familles, qui occupaient un appartement au lotissement Florence n° 26 à Frais Vallon, dans la commune d'El Biar, ont été expulsées. Les chefs de famille ne savent plus à quel saint se vouer, car ils se sont retrouvés carrément à la rue, et qui plus est, avec des enfants en bas âge. Après 50 ans d'occupation du logement, dont ils sont actuellement interdits d'accès, ils ont dû se résigner à occuper avec femmes et enfants un trottoir du quartier, en attendant que les pouvoirs publics daignent se pencher sur leur cas.