-Un bus dérape sur l'autoroute : cinq passagers blessés Un accident de la circulation impliquant un bus s'est produit, hier, en début de matinée sur l'autoroute de l'Est au niveau de la bifurcation menant à Hussein Dey. Selon le chargé de la communication de la Protection civile, M. Bakhti, l'accident a causé des blessures sans gravité à cinq passagers, qui ont été pris en charge sur place, puis évacués vers les structures sanitaires par les éléments de la Protection civile. D'après des témoins oculaires, le chauffeur du bus a perdu le contrôle du véhicule qui a dangereusement dérapé, il a percuté deux poteaux électriques avant de finir sa course folle sur les glissières de l'autoroute. La chaussée étant glissante suite à la chute d'une pluie matinale, le chauffeur a donné un violent coup de frein, ce qui a déstabilisé le bus. «L'état de vétusté du bus présageait un tel accident. C'est une véritable épave roulante», dira un passager. -Verte rive à Bordj El Kiffan : des ralentisseurs à foison Quelques habitants du quartier Verte Rive, dans la commune de Bordj El Kiffan, peu soucieux des dommages qu'ils peuvent causer à autrui, ont installé un grand nombre de dos-d'âne. Les ruelles du lotissement, qui d'habitude connaissent une fluidité remarquable en termes de circulation routière, sont devenues par le fait de ces ralentisseurs posés anarchiquement des lieux où l'encombrement est omniprésent. «devant chaque maisons un ralentisseur en béton est érigé pour obliger les voitures à ralentir», déplore un habitant du lotissement, avant d'ajouter : «ces ralentisseurs sont hauts et escarpés. Ils endommagent les véhicules». Si la pose de dos-d'âne diminue les accidents de la circulation, il convient néanmoins de les faire poser par l'autorité compétente, car les habitants qui les installent ne respectent pas les normes d'usage, particulièrement en ce qui concerne les dimensions de ces ralentisseurs. -Commune de Bourouba : vols et insécurité Plusieurs quartiers de la commune de Bourouba connaissent une augmentation inquiétante de l'insécurité. Le nombre d'agressions et de vols ne cesse de croître, particulièrement à la cité PLM, La Faïence, la cité d'urgence et à Houch Hadda. Les habitants rapportent des cas d'agressions à l'arme blanche, «ces actes sont commis principalement au niveau de la route qui monte de la gare d'El Harrach jusqu'au quartier Diar El Afia, notamment tôt le matin, alors que l'éclairage public est défaillant», affirment les habitants. Selon eux, il est urgent de prendre les mesures qui s'imposent en pareille circonstance, et ce, en renforçant des patrouilles de policiers.