Des ralentisseurs se font désirer à la cité des Combattants En raison des risques qu'ils encourent, eux et leurs enfants, les habitants de la rue Zahraoui Hocine, notamment ceux résidant non loin du CEM Mahmoud Benmahmoud, ont saisi les autorités locales (wilaya, sûreté nationale, etc.) pour l'installation d'au moins trois ralentisseurs répondant aux normes techniques afin d'éviter tout accident dramatique qui enflammerait la cité. La manière de faire de certains motocyclistes et automobilistes traversant cette rue à des vitesses vertigineuses sans se soucier de ce qu'ils peuvent causer comme drame, est à l'origine de la demande des citoyens qui attendent une réaction des autorités prenant tout leur temps pour répondre aux doléances des concitoyens angoissés.
Les Subsahariens à l'heure de la mendicité La capitale des Hauts-Plateaux est, depuis un certain temps, confrontée au problème de l'immigration illégale, notamment celle des Subsahariens qui excellent dans l'informel, la contrefaçon et la mendicité. Ainsi, aucun espace de la cité ne leur échappe pour se livrer à la mendicité. En effet, après les places publiques et les artères principales, ce sont les mosquées qui sont ciblées de nuit, surtout. Par groupes, des vieux accompagnés de bambins se livrent à la mendicité avant et après la prière du «icha». Il suffit de faire un tour du côté de la mosquée Omar Ibn El Khettab pour avoir une idée précise sur la situation. «Où sont-ils regroupés ces Subsahariens ?» clament des citoyens d'une cité qui n'en peut plus.