-Dély iBrahim : nouvelles structures sportives Le projet de la construction d'une piscine semi olympique va être prochainement lancé au profit des jeunes de la commune de Dély Ibrahim. D'après Boughrara Djamel, maire délégué de l'APC de Dély Ibrahim, «il a été dégagé pour le projet une enveloppe budgétaire de 3 milliards de dinars sur fonds communal», dira l'élu, avant d'ajouter : «Cette piscine semi olympique aura une superficie d'environ 2000 m2.» Cette nouvelle structure, qui verra le jour dans quelques mois, aura le mérite de promouvoir le sport de masse, d'autant plus que la commune de Dély Ibrahim n'est pas dotée de ce genre de structure. Aussi, nous apprendrons du même responsable que la commune de Dély Ibrahim va être dotée de plusieurs nouvelles structures dans le domaine de la jeunesse et des sports : il s'agit d'un stade communal et de plusieurs terrains de proximité. -Haï El Badr - Baraki : la ligne du métro défectueuse Les habitants de Baraki se plaignent du manque de bus sur la ligne menant de la station du métro de Haï El Badr vers leur commune. Les quelques bus de l'Etablissement public des transports urbains et sur urbains (Etusa) sont loin d'assurer la continuité du service. Des usagers rencontrés sur place ont exprimé leur ras-le-bol de cette situation, que les responsables concernés tardent à améliorer. «J'attends l'arrivée du bus depuis près de 30 minutes, c'est insupportable», nous dira un citoyen. Un autre usager approché au niveau de la station urbaine de la ville de Baraki a indiqué qu'il attendait le bus depuis «1 heure». Ce dysfonctionnement, apprend-on, est apparu depuis l'ouverture de cette ligne. «Le temps que nous gagnons en prenant le métro, nous le perdons dans une interminable attente à la station de bus de l'Etusa», se plaint notre interlocuteur. Les usagers de la commune de Baraki demandent le renforcement de cette ligne en bus de transport de voyageurs ou la mobilisation de bus privés. «Seuls les bus publics sont autorisés à travailler sur cette ligne. Certes, le service est relativement meilleur, mais leur nombre demeure insuffisant», indique un fonctionnaire, qui dit être quotidiennement pénalisé. Il est à préciser par ailleurs que les taxis exigent pas moins de 400 DA pour une course sur cette ligne. Un montant exorbitant que la plupart des citoyens ne peuvent débourser.