Une histoire de TP «virtuels» à l'université de Sétif Des étudiants de la 4e année de pharmacie de la faculté de médecine de l'université Sétif 1 , ayant pour certains d'entre eux bouclé l'année avec une moyenne de 12 sur 20, risquent de refaire l'année. Ces derniers s'insurgent contre ce qu'ils qualifient d'arbitraire : «On veut nous ajourner pour des raisons non fondées. Nous tenons à informer les responsables et l'opinion publique que le module d'immunologie pratique n'a pas été achevé et que le volume horaire consacré initialement au cour magistral a été utilisé pour des exposés élaborés par les étudiants et sanctionnés par des notes de T P virtuels sachant qu'il est quasiment impossible de réaliser un TP dans un amphi et avec une section de 218 étudiants. Suprême entorse à la réglementation, les séances de TP n'ont pas été programmées ni portées à la connaissance des étudiants par voie d'affichage ou autre moyen de communication, ni mises en œuvre (réalisées). Nous ne pouvons, de ce fait, être exclus au seul motif d'une absence dans des TP imaginaires. Pis encore, la loi du plus fort nous prive de la contre-correction des copies qui est pourtant un droit», martèlent les «recalés» qui ne savent plus à quel saint se vouer.
Les étudiants et l'Emir
Le stand de la fondation Emir Abdelkader ne désemplit pas au Salon du livre qui se tient à la Safex. En effet, le stand attire de nombreux visiteurs intéressés par l'exposition consacrée à l'Emir Abdelkader, fondateur de l'Etat algérien. Selon Farid Zedek, chargé du stand et néanmoins membre de la fondation, «l'affluence est nombreuse et je suis totalement satisfait de la présence de jeunes, notamment des étudiants qui, probablement, préparent des thèses sur l'Emir et ne manquent pas de poser des questions pertinentes à son sujet. Pour notre part, nous ne ménageons aucun effort pour essayer de satisfaire leur curiosité.» Pour rappel, la fondation a à son actif de nombreuses publications consacrées naturellement à l'Emir qui a été guerrier, poète, soufi écrivain et meneur d'hommes. L'ambassadeur américain à Biskra
Poursuivant son «Tour des 48 wilayas», l'ambassadeur, Ensher, a effectué une visite à Biskra du 18 au 20 septembre 2012. Il a rencontré le wali, puis s'est rendu à la base aérienne, ainsi qu'à l'Ecole d'application des forces spéciales, où un séminaire mettant en relief la coopération entre les Etats-Unis et l'Algérie dans le domaine sécuritaire s'est tenu. L'ambassadeur a également eu un aperçu de l'héritage culturel et historique à travers des visites de nombreux sites archéologiques de la région, notamment la mosquée Sidi Okba et El Kantara. L'ambassadeur espère continuer son tour des wilayas algériennes et rencontrer le plus grand nombre d'Algériens et découvrir ce beau pays qu'est l'Algérie. Oriflamme Algérie fête son premier anniversaire
Oriflamme Algérie fête aujourd'hui son premier anniversaire en Algérie. Leader dans son domaine, la filiale suédoise, spécialisée en cosmétiques, profitera de ce rendez-vous médiatique pour faire le bilan sur sa présence en Algérie, et communiquera les perspectives et les opportunités futures de la marque. Oriflamme est connue pour être à l'origine d'un concept commercial très original, consistant en la vente directe et s'appuyant sur le développement d'un réseau d'adhérents et sur l'idée de parrainage. Oriflamme Algérie compte d'ores et déjà 20 000 adhésions dont 3000 actifs sur tout le territoire national. Une conférence de presse sera animée, entre autres, par Henrik Johannesson, directeur régional Moyen-Orient et Afrique.