Le premier grand derby de l'Est, CS Constantine – JSM Béjaïa, joué sur un billard (pelouse) dans un stade plein avec beaucoup d'ambiance, a bien été «contrôlé» par l'homme en noir, Hellalchi, désigné pour la circonstance et qui, à sa manière», est chargé de ne pas gâcher la fête. La confrontation n'a pas manqué d'engagement ni de mouvements, car les deux équipes devaient justifier leurs statuts et leur (bon) classement. Les décisions techniques qu'a eu à prendre, M. Hellalchi, n'ont pas influé, négativement, sur l'issue des débats, qui ont connu quatre buts (dont un penalty) indiscutables et des sanctions administratives (avertissements et une expulsion) irréfutables. En conclusion, M. Hellalchi , au tempérament discret, a développé un arbitrage de qualité où il a démontré qu'il a de l'autorité (sauf en première mi-temps pour le cas du joueur Larribi, ( JSMB), qui a «usé» d'amabilités répétées avec ses vis-à-vis avec une bonne condition physique, d'où son bon placement lui permettant d'être à chaque incursion offensive des deux équipes tout près du ballon dans les surfaces de vérité et ainsi clôturer la rencontre avec beaucoup d'esprit et de clarté sur un score de parité (2-2). Cependant, il fera attention de bien «ajuster» son oreillette pour qu'à l'avenir, il ne dégage pas cette (fâcheuse) impression de recevoir des «directives» du genre : comment se conduire ou quel joueur avertir. Le second assistant (Doulache) s'est «précipité» de lever son drapeau sur deux offensives du CSC où il n'y avait aucune présomption de hors-jeu. Quant à M. Zouaoui, le quatrième arbitre, très actif sur le long de la ligne de touche, voulant certainement aider ses collègues à «gagner» du temps et à combattre l'«antijeu», s'est interposé à une balle, dégagée vers l'extérieur du terrain, en l'arrêtant de la main.