-CEM Abderrahmane Bousaâ : des classes d'examen sans professeur de français Des élèves du CEM Abderrahmane Bousaâ, dans la commune de Bir Mourad Raïs, sont sans professeur de français depuis le début de l'année scolaire. Il s'agit de deux classes d'examen. «Ces élèves doivent passer le BEM dans quelques mois. On se demande, en tant que parents d'élèves, comment ils vont s'en sortir», fulmine un parent d'élève, et d'ajouter : «déjà que nos enfants sont faibles en langue française, vient s'ajouter à cela l'absence de professeur.» Ces parents d'élèves affirment que leurs réclamations menées auprès du directeur du CEM et des responsables de l'académie afin de trouver une solution de rechange à cette situation n'ont abouti à rien. «Nous avons demandé à maintes reprises au directeur de l'établissement ainsi qu'à l'académie de trouver une solution à ce problème, mais en vain», relèvent les parents d'élèves, qui lancent un appel urgent aux autorités compétentes afin qu'elles se penchent sur ce problème. -Cité El Wouroud : des dos d'âne à foison Certains habitants de la cité El Wouroud, dans la commune de Bab Ezzouar, installent de leur propre chef des ralentisseurs, sans prendre attache avec les autorités locales qui sont seules habilitées à réaliser ce genre d'ouvrage. Ces citoyens prennent l'initiative de poser du béton en forme de dos d'âne à même la chaussée. C'est ainsi que devant chaque immeuble de la cité, des ralentisseurs, érigés de manière anarchique et ne répondant à aucune norme d'usage, sont si hauts que les automobilistes peinent à les franchir. «A chaque fois que je passe sur un de ces dos d'âne, le plancher de la voiture en prend un coup», déplore un automobiliste, et de poursuivre : «Les autorités locales devraient interdire ce genre de ralentisseurs, car en les franchissant les voitures sont mises à rude épreuve.»xx