Un virus marin est à l'origine de la mort d'un «grand nombre» de mérous sur la côte ouest de Skikda, un phénomène observé depuis plusieurs jours. Ce virus a été détecté en Méditerranée par un laboratoire d'océanographie à Annaba et par le Centre national de recherche et de développement de la pêche et de l'aquaculture (Cnrdpa). Ce virus affecte spécifiquement ce genre de poissons dont plusieurs centaines étaient visibles à la surface de l'eau à Tamanar, Béni Saïd et à Aïn Douala. Des chercheurs français et algériens s'emploient à rechercher les causes de l'apparition de ce virus qui frappe le mérou, mais n'affecte en rien l'homme. Ce sont des riverains et des pêcheurs qui ont découvert des poissons morts flottant à la surface de l'eau. Un vétérinaire dépêché sur les lieux a observé des plaies au niveau de l'œil et de la peau, portant également des taches jaunâtres sur la surface du foie de certains sujets.
Guenzet, le choix de la continuité
A Guenzet, les élections, à l'instar des autres communes du pays, sont perçues par les électeurs comme une autre étape censée rendre la vie moins pénible dans ces contrées montagneuses. Mais si les candidats s'agitent ici et là, la population a un préjugé favorable à l'endroit du maire sortant, le Dr Amar Benaouda, octogénaire, ancien cadre de la santé, moudjahid, ancien président de la FAF, dont le parcours est appréciable et qui se présente en candidat indépendant. Lors de son dernier passage à la mairie, plusieurs projets ont été réalisés et d'autres sont en instance de l'être. Rencontré, l'homme toujours bon pied, bon œil, nous a avoué qu'il n'allait pas s'éterniser à ce poste, mais qu'il serait le plus heureux des hommes s'il terminait les autres projets qui lui tiennent à cœur. Le double succès de l'AADL à Blida
L'Agence nationale d'amélioration et du développement du logement (AADL) de Blida connaît, ces derniers temps, un flux important de citoyens venus s'enquérir des modalités à entreprendre pour bénéficier d'un logement de type location-vente. Cela intervient après la relance, par l'actuel ministre de l'Habitat, de la formule location-vente relevant du programme AADL. Mais l'autre succès de cette agence à Blida est l'engouement des institutions et organismes nationaux pour les locaux commerciaux et de services situés au bas des immeubles relevant de l'ancien programme AADL. Ainsi, une dizaine d'institutions, d'entreprises et d'organismes publics, à l'instar de l'Ansej, l'Angem..., ont acquis, de gré à gré et à un prix défiant toute concurrence des locaux appartenant à cette agence. D'autres sont en démarches. Les particuliers doivent, quant à eux, passer par une vente aux enchères pour acquérir un local AADL dont les prix sont souvent attractifs.