Les 100 locaux du président de la République détournés Les 100 locaux à Oran dits du président de la République lesquels, faute d'être exploités par les jeunes chômeurs en l'occurrence, ont fini par être détournés de leur vocation. Ces structures commerciales, selon des témoignages, ont tout simplement été squattés par des jeunes couples qui les ont transformés en logements. Cela est notamment le cas au niveau du quartier de Phoenix, où ces locaux ont été «reconvertis» en studios par des jeunes ayant convolé tout récemment en justes noces, en profitant naturellement de la permissivité et du laisser-aller des ex-responsables de l'APC, qui ont complètement ignoré ces établissements commerciaux de proximité. Crise de logement aidant, ces jeunes n'ont pas trouvé d'autre alternative que d'habiter dans ces locaux commerciaux. L'indélicatesse de l'entraîneur Mahour Bacha
L'entraîneur d'athlétisme, Ahmed Mahour Bacha, dont l'un de ses athlètes a été contrôlé positif l'été dernier, este El Watan en justice suite aux révélations fracassantes de Zahra Bouras parues dans El Watan Week-end en août dernier. Bouras, tout comme Larbi Bourrada, a été contrôlée lors des meetings en France et en Allemagne. Zahra Bouras, bouleversée par cette affaire, avait justifié sa rupture avec Ahmed Mahour Bacha en répondant à la question du journaliste. «Trouvez-vous normal qu'un entraîneur soit en même temps diététicien, médecin, masseur ?» ; «c'est l'une des raisons qui m'ont poussée à quitter mon ancien coach», a confié Bouras. Sous d'autres cieux, de tels témoignages auraient débouché sur l'ouverture d'une information judiciaire. Mais voilà, c'est tout le contraire qui s'est produit... Malgré tout ce scandale de dopage sans précédent qui a fait le tour du monde de l'athlétisme, Mahour Bacha Ahmed poursuit le journaliste d'El Watan Week-end en justice qui est convoqué le lundi 7 janvier au tribunal de Sidi M'hamed. Le jour de l'an, des boulangers ont zappé le pain
A l'ouest du pays, et même dans d'autres régions, les citoyens pensaient que le pain ne pouvait manquer que durant les fêtes de l'Aïd, mais pour cette fois, les clients de plusieurs villes ont été surpris de découvrir que les fours des boulangers ont observé une relâche à l'occasion du réveillon. En effet, selon la presse locale, plusieurs boulangers-pâtissiers, appâtés par le gain que pouvait leur procurer la bûche du nouvel an, ont préféré zapper la baguette, pour ne produire que des gâteaux de circonstance. C'est un grave manquement aux obligations du service public qu'ils sont censés rendre à la collectivité. Finalement, les adeptes du marché noir, que l'on disait chassés de la voie publique, se sont frottés les mains ce jour-là. Les boulangers leur ont fait un joli cadeau, en leur livrant, pieds et poings liés, leur clientèle. Saisie de tabac à chiquer contrefait à Sétif
Les éléments de la sûreté de la daïra de Salah-Bey (sud de Sétif) ont saisi au cours de cette semaine 5,5 quintaux de tabac à chiquer contrefait qui allait être frauduleusement écoulé, ont indiqué jeudi les services de la sûreté de wilaya. Les policiers, agissant sur la base d'informations, ont saisi cette quantité de tabac placée dans 22 sacs de 25 kg. Le tabac contrefait, découvert à bord d'un véhicule utilitaire intercepté sur la RN 28 entre les communes de Salah-Bey Rasfa, prenait la direction d'un atelier clandestin pour être conditionné.