Vaccination du cheptel Le coup d'envoi de la campagne vaccinale du cheptel ovin et bovin, à travers tout le territoire de la wilaya de Sidi Bel Abbès, a été donné, en ce début de semaine, par les services de l'inspection vétérinaire. Cette campagne touchera, apprend-on de source proche de la direction de l'agriculture, près de 600 000 têtes ovines et quelque 23 000 têtes bovines, officiellement recensées. Pour ce faire, les services vétérinaires ont mobilisé une quarantaine de vétérinaires. Cette campagne destinée à endiguer les pathologies liées particulièrement à la rage bovine, la fièvre aphteuse et la clavelée doit toucher toutes les unités et centres d'élevage implantés à travers les localités de Sidi Bel Abbès. L'opération, est-il précisé, doit durer deux mois. Accroissement de la population à l'horizon 2009 La ville de Sidi Bel Abbès comptait 208 184 habitants à la fin de l'année 2004, selon des estimations présentées, hier, par la direction de wilaya de la planification et de l'aménagement du territoire (DPAT). La ville connaîtra un accroissement substantiel de sa population d'ici 3 ans, selon la DPAT qui avance le chiffre de 223 000 habitants à l'horizon 2009. La population globale de la wilaya était de 586 000 habitants en 2004. Débrayage le 16 avril à l'université Huit sections syndicales de l'université Djillali Liabés, affiliées au Syndicat national du personnel de l'administration publique (SNAPAP) et à l'Union générale des travailleurs algériens (UGTA), observeront, le 16 avril prochain, une journée de protestation pour « faire valoir leurs revendications socioprofessionnelles ». C'est ce qui ressort d'un communiqué signé conjointement par les huit sections et qui met en exergue « la situation critique dans laquelle se débat les employés de l'université ». D'après M. Rejemi, syndicaliste du SNAPAP, les points soulevés par les travailleurs de l'université ont trait aux problèmes du logement et de promotion interne ainsi qu'à la titularisation de pas moins de 500 vacataires, actuellement en situation précaire.