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Le régime algérien, entre mues illusoires et l'antienne «loi du 23 février 2005»
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Publié dans El Watan le 23 - 01 - 2013

«…Je fus témoin d'une cérémonie que je n'avais pas encore vue : les chefs des diverses fractions, prévenus du passage du général, venaient des douars voisins l'attendre sur la route, et quand ils le voyaient, ils descendaient de cheval, puis s'approchaient de lui pour lui baiser humblement la main. Le général, représentant dans sa personne le pouvoir de la France, recevait ces hommages avec beaucoup de dignité…» Abbé Jean Joseph Léandre Barges : Tlemcen, ancienne capitale du royaume de ce nom, sa topographie, son histoire... page 399, chapitre XVIII(1)
Les Algériens soucieux de leur image sont blasés de l'acharnement qu'a «la même clique, la même famille et la même secte…»(2) à s'agglutiner à n'importe quel prix, jusqu'à les enrayer, aux rouages de l'Etat poussé à la dérive. Cela dure depuis des décennies ; cela n'en finit pas. Un ami, fils de martyr de la guerre de Libération nationale et cadre du plus grand parti après le FLN, à qui je l'alléguais, me gratifiait de cette réponse dogmatique : «Dieu a élu Une famille pour guider l'humanité !». La pique n'est évidemment pas dénuée de
sens : celui qui vous fait attraper le tournis ! Cinquante ans après la déclaration d'indépendance de notre pays, nous sommes toujours aux bains de foule d'indigènes, livrés sans vergogne aux chefs d'Etat de l'ex-métropole. Houari Boumediène, qui accueillait Valéry Giscard d'Estaing en avril 1975, fut le premier à ramener le peuple sous sa férule (et celle du nidham, ordre du parti unique, le FLN) à renouer avec les humiliations du passé.
Puis, ce sera au tour de Chadli Bendjedid d'exhiber notre carence mémorielle au moqueur François Mitterrand. Le guillotineur qui, hélas !, n'a jamais eu affaire aux Beate Klarsfeld(3) pour lui rappeler son acabit de bourreau, sera ovationné – Ô rage ! Ô
désespoir ! – dans la Casbah d'Ali la pointe… (décembre 1981)… Depuis l'arrivée d'Abdelaziz Bouteflika à El Mouradia, des villes de l'intérieur sont de la partie pour faire impérial : Jacques Chirac est porté aux nues dans le terroir d'Ahmed Zabana (Oran en mars 2003), Nicolas Sarkozy dans celui de Zighoud Youcef (Constantine en décembre 2007)… La perle du Maghreb, qui s'était fait un lifting à coups de milliards à l'occasion de la manifestation «Tlemcen capitale de la culture islamique 2011», en mettra plein la vue à François Hollande le 20 décembre 2012 !
Après l'accueil «normal», (le bain de foule dans l'avenue du colonel Lotfi…), un titre de doctorat honoris causa lui a été décerné par l'université dont le pôle est, dit-on, un vrai chef-d'œuvre. Et pour cause ! Quelques mois auparavant (en mars), dans une autosatisfaction démesurée, le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique avait pris à témoin l'opinion – via les médias – de «la fonctionnalité et l'esthétique des infrastructures».(4) Le wali de la ville qui l'accompagnait évoqua même «une émission» de Jean-Pierre Elkabbach où une invitée avait souligné le contraste entre le luxe (architectural et matériel) affiché par l'université algérienne et l'indigence (pédagogique et intellectuelle) de ses étudiants.(5)
Mais comme il l'a confié dans une interview à S. Raoufle, le journaliste Claude Estier évoquant la visite du président Vincent Auriol à Alger qu'il avait couverte en juin 1949, «les cérémonies fastidieuses et la débauche protocolaire ne sont pas dénuées de calcul, elles sont destinées à empêcher de voir de très près la réalité algérienne».(6) Rien n'a changé depuis puisque quelques semaines après les bravades des autorités, le 25 mai, une explosion de gaz survenait dans le restaurant de la résidence universitaire Bakhti Abdelmadjid de la capitale des Zianides, mettant à nu la gabegie du système ! Une femme travaillant dans les cuisines et sept étudiants furent déchiquetés. Un huitième succombera plus tard, le 1er novembre, suite à ses blessures. Et pas un mot prononcé à leur mémoire pour ne pas troubler la fête et… semer le doute sur les chantiers du président !
La communauté d'Elkabbach construit sur la terre spoliée des Palestiniens des écoles avec des abris antinucléaires pour les petits sionistes, tandis que nos bacheliers émérites, denrée rare et précieuse, dont la formation coûte à leurs familles mais aussi aux plus démunis d'entre les Algériens leur part entière de la rente, sont restaurés sur des tuyaux de gaz «fuitant» – enfouis sous des dalles de sol vernissées. Tout comme dans les habitations bon marché se consument à petit feu les populations spoliées de leurs ressources ! (7)
La famille algérienne sacralisée a survécu à «ses» impondérables ! Entre autres, celui de la démocratie qui a balayé le mur de Berlin et renversé des régimes de l'Est de la même obédience en apparence. François Mitterrand a donné son feu vert à l'arrêt du processus électoral de 1991, et a de la sorte garanti la perpétuation du système. Les escadrons de la mort, conception de Paul Aussaresses, ont mené leur sale guerre.(8) Deux cent mille innocents et Mohamed Boudiaf, le dissident historique du régime, piégé, ont été sacrifiés en masse dans nos douars : Raïs, Ramka, Bentalha, Had Chekala... La ressemblance avec les massacres des Palestiniens à Sabra et Chatila est inouïe ! Indemne, la famille guide clame aujourd'hui avoir anticipé les printemps arabes.
Paradoxalement, les attentats du 11 septembre 2001 ont fini par conforter le régime algérien dans son inamovibilité. Si le 7 décembre 2009 le ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci, était fouillé, passé au scanner à l'aéroport Dulles de Washington D.C., en tant que… ressortissant d'un pays figurant dans la liste noire (des terroristes) établie par Washington en mai 2011, au moment où les Navy Seals lançaient leur raid contre la résidence d'Oussama Ben Laden au Pakistan, il était l'invité de la secrétaire d'Etat Hilary Clinton pour… des entretiens avec Daniel Benjamin, coordonnateur pour la lutte antiterroriste au Département d'Etat, William Burns, secrétaire d'Etat adjoint pour les affaires politiques et John Brennan, conseiller spécial du président Obama...!
La «puissance militaire» et «la capacité en matière de collecte de renseignements» des guides algériens en font des partenaires incontournables dans la lutte… antiterroriste (Dixit Hilary Clinton) ! Le 20 octobre 2011, le guide libyen, qui dans sa coopération avec les Occidentaux leur a offert tous ses espions sur un plateau d'argent et planté sa tente en plein centre de Paris, était capturé et exécuté à Syrte, dans un de ses câbles la société de renseignement WikiLeaks divulguera que ce sont les services algériens qui avaient localisé la planque d'El Gueddafi, à Bani Walid, et livré l'information aux Britanniques.
Les critiques attribuent la paternité de la caste dirigeante en Algérie au général Charles de Gaulle. Sachant, invoquent-ils, inéluctable l'autonomie de la colonie, celui qui a filé à l'anglaise durant la Seconde Guerre mondiale et «guidé» la résistance à l'occupation allemande depuis Londres a, durant celle de la Toussaint, encouragé la stratégie de son barbouze Roger Wybot consistant à infiltrer sordidement l'ALN (Armée de libération nationale) par des officiers autochtones, choisis parmi la progéniture de caïds et de familles foncièrement acquises à la cause coloniale, les fameux DAF (Déserteurs de l'Armée française (9)…
Il a en même temps «inspiré» les finauds attentistes, tapis à sa manière au-delà des frontières, loin du front. Comme de hauts fonctionnaires, comme l'ancien chef de gouvernement Sid Ahmed Ghozali, ont confessé explicitement que c'est le DRS – Département de renseignement et de sécurité, la police politique, l'oligarchie… – qui dirige l'Algérie de façon quasi-totale, cette institution serait donc la férule de la famille guide. Les paroles du ministre des Travaux publics, Amar Ghoul, qui, confronté au scandale de l'autoroute Est-Ouest, s'était défendu : «Vous pensez que si les services de renseignements avaient des preuves contre moi, ils m'auraient laissé devenir ministre dans 6 gouvernements successifs ?», corroborerait notamment cette évidence.
L'attitude du ministre de l'Intérieur, ancien responsable des services opérationnels de la Sécurité militaire qui, face au drame de deux de nos ressortissantes droguées et violées par le chef de la CIA, Andrew Warren, dans sa résidence à l'ambassade d'Alger avait lancé dans un flegme indécent : «c'est une affaire d'espionnage» et, aussitôt après, prit l'habit de vice-Premier ministre, si elle entérine le fait du prince, elle n'en évoque pas moins la triste réalité de l'abandon des Algériens par la famille guide face à l'adversité.
Le fait que Washington, (son ambassadeur en Algérie, le Département de Justice…) et la presse américaine se montrèrent «concernés» par l'affaire, jette le discrédit sur le premier policier et par ricochet sur le DRS, et les analystes s'interrogent à juste titre sur la fonction réelle de ce levier de commande, ne manquent pas de faire référence au point Godwin qui sape toute velléité d'analyse de la réalité algérienne… D'autant plus que dans son rapport annuel 2012, Transparency International classe l'Algérie parmi les pays les plus corrompus au monde !
Le factum inéluctable qui pèse sur nous ne date ni n'est le fait exclusif de la honteuse barbouzerie du général de Gaulle. Dès la colonisation, la secte spécialisée dans les pirouettes s'est affidée aux conquérants à la faveur des fameux décrets Crémieux faisant d'elle le précurseur et la première communauté de harkis ! Comble de l'ironie, dans le scandale de l'autoroute, ce pedigree est bien impliqué(10) !
Les raisons de croire que des postes décisionnels sensibles sont entre les mains de «familles» déloyales, délatrices dont les agissements (cabales) ont coûté la vie aux meilleurs de nos patriotes ne sont plus infondées. Le cas de six moudjahidine tombés le premier jour du Ramadhan de 1957 à Sid El Haloui, une banlieue nord de Tlemcen, dont a été accusé un ivrogne, étranglé illico presto avec du fil de fer, mettant fin à toute velléité d'enquête est symptomatique de la nébulosité que l'ordre colonial a installée avant de se retirer de la scène.
(11) L'interdiction à l'accès des archives de l'ALN et des Services historiques de l'armée de terre française conservées à Vincennes (SHAT), argument factuel, vise à protéger cette caste et non pas à éviter une guerre civile comme supposé, puisque d'après de nombreux analystes celle-ci a été déclenchée quand il s'est agi de pérenniser le régime. A la fin de leur mission, les cadres supérieurs de la nation obtiennent pour une large majorité d'entre eux la résidence française. Sur rapport du ministère des Affaires étrangères, un décret présidentiel, paru dans le Journal officiel du 29 août 2012, autorise l'octroi du passeport diplomatique aux cadres et ex-cadres de l'Etat, civils et militaires, ainsi qu'à leurs familles.
L'activisme colonial n'a jamais cessé comme on le lit !(12) Le Second collège se veut immortel. Dans une de ses chroniques (le quotidien Liberté du 20 novembre 2010), Mustapha Hammouche, se référant à un câble WikiLeaks, rapporte l'opinion que se font les Etats-Unis sur notre Algérie : «Un pays fragile, malade et malheureux». En 2008, Andrew Henderson, l'ambassadeur de Grande-Bretagne à Alger, remarquait déjà de son côté : «La société algérienne est confrontée aux problèmes de santé, d'éducation, de chômage et des prix du lait et de la pomme de terre(13)».
L'émancipation du peuple algérien est bien le dernier souci de la famille dirigeante. Pis, socialement, les Algériens perdent le peu qu'ils maîtrisent de leurs langues officielles (?), leurs dialectes s'érodent. Ils recourent à la violence pour exprimer leur malvie. Nous retournons au moyen-Age, nous ne régressons pas, nous dégénérons ! Nous sommes inexorablement ramenés au stade de racket, rançonnage (cueillette ?) et de la rapine (chasse ?). Profiter de l'humilité, de la grande abnégation des âmes «sans voix» pour se mettre en verve et parler en leur nom est l'apanage des individus sans envergure. Leur cervelle carillon, réflexe sans «assemblée de neurones intercalaires» est incapable de contenir une pensée, une idée, et encore moins élaborer un concept ou… une stratégie.
Même si toutes les décisions, décrets… d'où qu'on pense qu'ils sourdent, prêtés aux autochtones, semblent un tissu d'insanités, décryptés par leurs effets délétères, ils ne peuvent émaner d'une autre source que celle des gourous prédateurs d'Algériens, d'Africains, d'adeptes du darwinisme social ! Notre quotidien est géré par les hordes de Tayeb(14), qui ont vendu leur âme et qui n'arrêtent pas de distribuer hargneusement «l'incompréhension» de la loi du 23 mai 2005 !
Les pays du Commonwealth se portent mieux que ceux de la Francophonie, la France est le pays des caporaux (armée ou partis) dont l'icône reste le nain Bonaparte Napoléon que des hordes de plumitifs(15) ont rendu géant ! Paris cultive dans les capitales de son empire les 18 brumaire, la culture des DAF, des harkis et des escadrons de la mort ! L'émergence d'un père de la nation de la stature d'un Gandhi ne peut se faire que si nous nous détournons une fois pour toute des règles infligées par la France.
Le Commonwealth constitue évidemment une alternative. D'autant plus que le principe régissant l'émergence et la mort des civilisations stipule que l'Inde hérite de la mission «révolutionnaire» que l'Allemagne menait avant d'être stoppée par la folie des apprentis messianiques qui s'en sont emparée !
Notes de renvoi :
1) Ouvrage offert par le président François Hollande à son homologue – et non moins hôte – algérien le 19 décembre 2012. Le lecteur intéressé peut le consulter sur le Web : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5461068h ...
2) «Depuis 1962, c'est en fait la même clique, la même famille et la même secte qui gouverne», Le Soir d'Algérie, 25/10/2012, Actualités : Nordine Aït Hamouda réagit au livre-mémoires de Chadli Bendjedid. Propos recueillis par Sofiane Aït Iflis. Ainsi que l'article de M. Hannouche : «Ces walis qui perdurent», Le Quotidien d'Oran, Actualité autrement vue, jeudi 18 octobre 2012.
3) Née Beate Auguste Künzel, fille de SS, elle gifla au cours d'une réunion du parti CDU le chancelier d'Allemagne fédérale Kurt Georg Kiesinger en le traitant de nazi.
4) Allal Bekkaï, «Tlemcen: la prochaine rentrée universitaire se prépare déjà». Le Quotidien d'Oran, 5 mars 2012.
5) Op. Cit.
6) En raison du «sens» qu'il voulait donner à sa visite, le président français désirait se rendre à Sétif, ville symbole des événements de Mai 1945. Les «calculs» auront le dernier mot.
7) Les citoyens sont mis en difficulté de construire leur chez-soi, les bidonvilles sont la réaction à la quasi- interdiction, et les réalisations de l'Etat sont des pouilleries régies par une administration qui agit en mode carcéral – résultat escompté par les grands experts en sciences humaines, gourous de nos guides.
8) En Roumanie, 93 personnes sont mortes à Timisoara ; c'est établi, les services spéciaux français ont contribué à la chute du régime du Conducator !
9) Wikipédia
10) «L'Affaire du trafic d'armes vers l'Angola» - «Angolagate» - également appelé «Affaire Falcone» (du nom de Pierre Falcone, cité dans le scandale de l'autoroute) ou encore «Affaire Jean-Christophe Mitterrand-Charles Pasqua» est une affaire judiciaire dans laquelle sont impliquées plusieurs personnalités politiques françaises (source Wikipedia). Il faut penser au Sahel et notamment au Mali en raison des armes libyennes en circulation.
11) Dans son livre sur Amirouche, Saïd Saâdi reproduit le document dans lequel le chef de la Wilaya III réprouvait les liquidations de «suspects» sans procès.
12) Farid Belkacem, «Ils activent depuis 2003 dans une organisation basée à Paris. Des Algériens dans une énigmatique association française» ; Liberté du 8 septembre 2009, rubrique Actualité.
13) Abed Charef, Transparences ; rubrique Evénement, Le Quotidien d'Oran, lundi 18 février 2008.
14) Personnage du roman L'Opium et le Bâton de Mouloud Mammeri.
15) L'abbé Bargès en représente un échantillon. Comme dans un lointain futur ( ?), des livres d'histoire des Etats-Unis, nostalgiques de leur passé glorieux, relateront les exploits d'un certain président George W. Bush qui
a envahi l'Afghanistan, l'Irak… antres du terrorisme… islamiste !


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