Poursuivi pour diffamation, le P/APC de Bordj Bou Arréridj acquitté Poursuivi pour délit de diffamation, le P/APC de la ville de Ras El Oued, seconde grande agglomération après le chef-lieu de la wilaya de Bordj Bou Arréridj, a été acquitté, mercredi dernier, par la cour de Bordj Bou Arréridj, à l'issue d'un procès qui a duré plus de 18 mois et qui l'opposait à certains membres de la société civile dans un conflit, une polémique faite autour d'un article de presse. 6 mois ferme pour le correspondant d'El Bilad La cour de Mostaganem a condamné à 6 mois de prison ferme le correspondant local du quotidien El Bilad. Cette condamnation intervient suite à une plainte en diffamation du P/APW concernant un article paru en juillet 2004 et dans lequel le journaliste reprenait les termes d'un communiqué de l'Organisation nationale des enfants de chouhada (Onec), en réaction à la visite d'un groupe de pieds-noirs. C'est la première fois qu'une peine aussi lourde, intervenant du surcroît en appel, est prononcée à l'égard d'un correspondant de presse. La corporation des journalistes et des correspondants de presse se déclare consternée par cette affaire. Les radars rapportent deux milliards à Chlef Deux milliards de centimes, tel est le montant des procès-verbaux d'infraction dressés en 2005 par la police de Chlef suite au contrôle routier par radar, indique une source policière. La recette, qui a été, dit-on, versée au Trésor public, concerne notamment les contraventions pour vitesse excessive et dépassement dangereux. Les radars à l'origine de cette prise ont permis, selon notre source, de réduire les accidents de la circulation et d'intercepter de nombreux automobilistes pour non-respect du code de la route, surtout en ce qui concerne la limitation de la vitesse dans les zones urbaines. Interdit... aux handicapés « Nous sommes désolés, vous êtes sur une chaise roulante, vous ne pouvez pas être admis à l'établissement ! » C'est en ces termes qu'un vigile, qui « filtre » les entrées d'une boîte de nuit algéroise, située à l'intérieur d'un palace historique du secteur public, a accueilli, dans la soirée de jeudi dernier, un confrère de la Chaîne III. Lorsque notre ami (handicapé moteur mais en parfaite santé mentale) a tenté de « raisonner » le préposé, lui signifiant que recourir à une telle décision est en violation des lois, il lui a été signifié ceci : « Ici, on ne travaille pas selon les lois ! » Un charlatan sous mandat de dépôt Une jeune femme originaire d'El Annser, une agglomération à proximité de la ville de Bordj Bou Arréridj, a été victime de pratiques le moins que l'on puisse dire d'elles « révolues ». La famille de la victime pensait qu'elle allait trouver le remède aux crises épileptiques dont souffrait la jeune femme chez un charlatan qui l'enferma chez lui pendant trois jours. Malheureusement, l'état de santé de la victime se dégrada au point de tomber dans un état comateux. Un certificat d'incapacité de travail de 30 jours lui a été délivré par un médecin légiste qui a constaté les traces de sévices et des ecchymoses. L'accusé a été placé sous mandat de dépôt par le procureur près le tribunal de Ras El Oued pour coups et blessures et charlatanerie. Une vieille de 76 ans privée de visa Un refus de visa a été signifié à une Algérienne âgée de 76 ans habitant Alger. Cette grand-mère voulait tout simplement se rendre en France pour rencontrer ses quatre enfants et surtout ses petits-enfants. D'ailleurs, deux de ses enfants ont la nationalité française, et toutes les pièces nécessaires pour prendre en charge les frais de séjour ont été fournies dans le dossier de demande de visa. Avec le chagrin dans le cœur, cette vieille dame - qui a contacté notre journal - espère quand même que son vœu sera être exaucé avec la délivrance de ce visa ou... le visa de délivrance. Un Espagnol se convertit à l'Islam à Skikda Coïncidant avec la fête du Mawlid, un sexagénaire de nationalité espagnole s'est converti à l'Islam. Lopez Martinez José, ingénieur de son état et travaillant dans la plate- forme pétrochimique de Skikda, a prononcé à cet effet la chahada devant l'imam de la mosquée El Imane de la cité des 700 Logements. Désormais, le nouveau musulman s'appelle Brahim. A en croire les présents à la mosquée, le susnommé aurait embrassé la religion musulmane pour épouser une Algérienne.