Tala Ifacen : les travaux de réfection de la route à l'arrêt Les habitants de Bordj Beni Abdallah, relevant de la commune de Tala Ifacen, constatent à leurs dépens que les travaux de rénovation de l'axe routier reliant leur village au chef-lieu de commune, sont à l'arrêt. Ce projet, dont le village avait bénéficié dans le cadre du plan communal de développement de l'année 2012, accuse un grand retard. Cet état suscite l'indignation des habitants du village. Censé être rénové et goudronné, ce chemin s'est plutôt transformé en trous et crevasses, accentuant ainsi le calvaire de ses usagers. La circulation sur cette voie est devenue une véritable épreuve pour les automobilistes contraints de rouler sur une route, rendue impraticable par des travaux inachevés. Les citoyens qui s'expliquent mal un tel procédé, réclament non seulement l'ouverture d'une enquête mais la fin d'une telle souffrance. A. M.
Aït Tizi : des forêts dévastées Le taux alarmant d'abattage des arbres d'Aït Tizi, constitue une réelle menace pour les forêts de cette région. Cet abattage illégal effectué à des fins énergétiques est la cause principale de la dégradation de la forêt, qui représente une source importante de liège. Les citoyens responsables de cet acte répréhensible expliquent que le bois est leur seul moyen de chauffage, surtout en période des grandes neiges durant laquelle la région est totalement isolée et coupée du monde, et où les bonbonnes de gaz font défaut. L'absence totale d'une surveillance des services concernés a donné des idées aux adeptes de l'abattage clandestin qui risque en perdurant, de perturber l'équilibre écologique de la région. Benabdallah A. Aïn Lahdjar : le chemin communal en piteux état Les habitants des mechtas Ouled Kacem, Ouled Chebel, Ouled Naâmene et Lehdaya, relevant de la commune de Aïn Lahdjar, ne savent plus où donner de la tête, depuis que la route principale les reliant au chef-lieu de commune, s'est complètement détériorée. Le chemin en question est la route communale 430, reliant le CW 64 à Aïn Lahdjar sur une distance de 13 km, en passant par les mechtas précitées, En effet, la circulation sur ce tronçon qui est truffé de crevasses et de nids-de-poule, est presque impossible. L'affaissement d'une partie du chemin n'arrange pas les choses. Pour rappel cet axe routier n'a connu aucune réhabilitation depuis son aménagement en 1986. En dépit des doléances et correspondance de ses usagers ne comprenant toujours pas, le silence radio des responsables interpellés. B. A.