-Marché 8 Mai 1945 (Bab Ezzouar) : insalubrité et mauvaise gestion L'insalubrité est la règle au marché du 8 Mai 1945, à Bab Ezzouar. La gestion de cet espace de vente communal n'est pas assurée convenablement, en dépit des multiples doléances des nombreux habitués de cet espace. Des ordures s'amassent partout, les avaloirs sont bouchés et de mauvaises odeurs empestent ce marché faisant craindre une véritable catastrophe sanitaire. Une meilleure prise en charge sur le plan de l'hygiène du site et sa sécurisation est réclamée par les citoyens. -Notre-Dame d'Afrique (Bologhine) : routes défoncées Au quartier Notre-Dame d'Afrique, l'état des routes est déplorable. Toutes les ruelles serpentant sur le flanc de montagne sont parsemées d'excavations qui rendent le déplacement des voitures difficile. A cause de la topographie particulière du quartier, le bitume se décape facilement sous l'effet de l'érosion, d'où la nécessité de refaire le goudron périodiquement. «La dernière fois où le bitume a été refait remonte à plusieurs années», affirmera un des habitants. Et de poursuivre : «Il est temps de refaire le bitume de toutes ces ruelles qui ressemblent beaucoup plus à un champ bombardé qu'à des routes carrossables.» -El Magharia : ramassage des ordures Les citoyens de la Côte rouge ont apprécié l'opération de collecte des ordures des espaces communs des cités relevant de la commune d'El Magharia (ex-Leveilly). Les agents de Netcom ont ramassé sachets et cartons éparpillés depuis longtemps à travers les espaces attenants aux immeubles. Les résidants espèrent voir de telles actions menées plus souvent. La cité ne dispose pas de niches ou de bacs à ordures. Les niches, installées à l'entrée des cités (241, APC-CNEP, etc.) ne sont pas suffisantes et sont détruites à force d'être souvent utilisées. Netcom, l'APC et même les citoyens doivent s'impliquer pour rendre les cités de la Côte rouge plus propres.