-Excès de zèle des policiers du tribunal de Bouira Il ne faut jamais s'arrêter, ni ralentir, ni encore garer sa voiture devant le tribunal de Bouira. L'automobiliste risque gros, puisque des policiers mobilisés pour assurer la protection et la sécurité de l'endroit, non seulement verbalisent le «fautif», mais des fois usent d'un vocabulaire qui n'honore guère les hommes en bleu ni cette politique de la police de proximité. C'est ce que nous avons constaté nous-mêmes devant cette enceinte judiciaire. Un policier a interdit même aux robes noires de garer leurs voitures devant cette institution. «Vous n'avez pas le droit de me parler, partez !», s'adresse un policier à une avocate. C'est le langage utilisé souvent par ces policiers qui, sans nul doute, agissent suivant les instructions de leur hiérarchie et également sont rassurés qu'ils ont la protection du responsable en haut, le procureur. -Deux mois pour voir sa demande de transfert refusée Les tracasseries de l'orientation des bacheliers n'en finissent pas. B. A. est l'une de ces bachelières ayant eu 14,30 au bac, filière sciences expérimentales. Cette dernière qui s'est inscrite en 1re année d'architecture à l'Ecole polytechnique d'architecture et de l'urbanisme (EPAU), a tenté vainement d'intégrer l'école préparatoire sciences et techniques (EPST). Jusque-là, il n'y a rien d'étonnant. Car de nombreux étudiants ont déjà vu leurs demandes de transfert refusées. Mais les parents de B.A., qui se sont déplacés à notre rédaction, ont été indignés par l'attitude du directeur de l'EPST qui a demandé à sa mère de constituer tout un dossier au début du mois de septembre. «A chaque fois, il me demande de revenir la semaine d'après», raconte cette mère de famille. Cela a duré pendant deux mois. Vers la fin du mois d'octobre, alors que les cours ont déjà commencé, «le directeur m'a déclaré que le transfert est impossible. Il n'y a pas de place pédagogique», déplore cette mère. Et de poursuivre : «Ce responsable a-t-il besoin d'attendre deux mois pour savoir qu'il n'y a pas de place dans l'établissement qu'il gère», s'interroge-t-elle. Pour plus de détails sur le cas de cette étudiante, nous avons tenté de contacter vainement le directeur de l'EPST. -L'homme le plus grand du monde, de 2,51 m, se marie Le Turc Sultan Kösen, l'homme le plus grand du monde qui mesure 2,51 m, a épousé dimanche une Syrienne dans sa ville natale de Mardin (sud-est de la Turquie), ont rapporté les médias. Le géant, âgé de 31 ans, a convolé avec Merve Dibo, mesurant elle 1,75 m. «Je suis content d'avoir finalement pu trouver quelqu'un qui m'accepte et qui m'aimera», a déclaré le nouveau marié aux journalistes. La croissance vertigineuse du Turc, reconnu en 2011 par le Guinness Book des records comme étant l'homme le plus grand du monde, est la résultante d'une tumeur qui affecte son hypophyse. En 2010, il a été opéré de sa tumeur à l'université de Virginie (Etats-Unis) et des médicaments lui ont été prescrits pour contrôler son niveau d'hormones de croissance. En 2012, il a été considéré comme guéri et ne grandira plus. -Séminaire international sur les déchets hospitaliers «Actualité sur les déchets d'activités de soins à risque infectieux (Dasri) : gestion et prise en charge» est le thème d'un séminaire qui aura lieu demain au niveau du bloc pédagogique du CHU de Tizi Ouzou. Le débat portera sur de nombreuses questions liées à ce sujet, à savoir les déchets hospitaliers : impacts sur la santé et l'environnement, aspects réglementaires du traitement des déchets d'activités à risque infectieux et gestion des déchets de soins à risque infectieux. Les résultats d'une enquête nationale sur l'identification du gisement et des ratios des Dasri en Algérie par la méthode de la pesée seront présentés.