Les dernières mesures des pouvoirs publics visant à l'éradication des marchands clandestins n'ont pas fait long feu. Pour preuve, la cité de la Révolution située cœur de la ville d'El Eulma, est de nouveau squattée par les vendeurs à la sauvette qui ont réapparu en exposant des produits de tout genre à même le sol défiant, ainsi, l'interdiction d'exercer. Pour rappel, ces vendeurs informels qui ont réinvesti la placette jouxtant l'ex-Souk N'sa, ont été tous installés dans des locaux de la cité Tabet Bouzid (195 marchands), 120 à la Sonacome. D'autres avaient bénéficié des locaux de l'OPGI, et ceux de l'AADL. N'appréciant guère le retour des vendeurs de l'informel, les citoyens interpellent les autorités locales.