Le FFS dépose une proposition de loi pour que Yennayer soit un jour férié Le Front des forces socialistes (FFS) a déposé, hier, au bureau de l'APN, une proposition de loi pour que Yennayer soit un jour férié. «La Constitution algérienne affirme dans son préambule que les composantes de l'identité nationale sont l'islamité, l'arabité et l'amazighité. Dans l'article 3 bis de la Constitution, le tamazight est langue nationale. Le texte constitutionnel souligne la dimension amazighe de la nation algérienne. De ce fait, Yennayer doit être un jour férié, correspondant au 12 janvier de chaque année», explique le député de Béjaïa, Chafaâ Bouaïche, à l'origine de la proposition. Démantèlement d'un réseau de faussaires à M'sila
Un réseau de faussaires constitué de trois individus dont les activités nuisibles s'étendaient au-delà des limites territoriales de la wilaya de M'sila vient d'être démantelé par les éléments de la Brigade de recherche de la Gendarmerie nationale de M'sila, indique une source locale. La mise hors d'état de nuire de ce réseau est intervenue suite à des informations faisant état de la proposition à la vente, par ce réseau, de billets de banque falsifiés dans les marchés de la région, précise la même source. Les éléments de la brigade ont intercepté, au barrage de Souide, à la sortie sud de la ville de M'sila, un véhicule avec deux personnes à bord, en possession de 15 millions de centimes en coupures de 500 et 1000 DA, a précisé la source. A la suite d'investigations approfondies, un des éléments appartenant au réseau, résidant à Barhoum, 48 kilomètres du chef-lieu de la wilaya, a été arrêté et le matériel informatique utilisé dans ce trafic a été saisi. L'autoroute sécurisée à Chlef
Aucune attaque contre les usagers de l'autoroute traversant la wilaya de Chlef n'a été enregistrée en 2013, a indiqué hier le commandant du groupement de gendarmerie de la wilaya lors de la présentation du bilan annuel d'activités. Ce tronçon, long de 55 km, est totalement sécurisé grâce aux efforts importants consentis par la brigade fixe et les patrouilles motorisées de la gendarmerie, a-t-il souligné. Il a ajouté que la surveillance de cet axe est assurée de jour comme de nuit, ce qui a permis également de dissuader les narcotrafiquants venant des frontières ouest du pays. Rappelons que ce résultat est l'aboutissement aussi du démantèlement, en 2009 et 2010, de deux bandes de malfaiteurs qui opéraient sur ce tronçon. Pour l'institution rapide du permis à points
Les permis à points sont déjà en circulation et c'est une bonne chose. Les nouveaux détenteurs de ce «sésame» de la conduite routière ont de quoi être satisfaits. Dorénavant, toute infraction sera, suivant son degré de gravité, sanctionnée par le retrait d'un ou plusieurs points. Fini donc les retraits de permis pour excès de vitesse sur l'autoroute après avoir été «flashé» par un radar. Fini surtout les désagréments qui suivent : l'attente pour passer devant une commission de daïra, le retrait plus ou moins long du document en question, ce qui sous- entend, bien sûr, une privation de conduite de tout véhicule pour le fautif. Une procédure jusqu'à présent décriée par les usagers. C'est dire que le permis à points arrive à point nommé pour mettre fin à ces désagréments lourds que peut entraîner la moindre infraction au code de la route, comme le fait de parler au téléphone en conduisant, par exemple. Il faut que l'administration engage une procédure accélérée de renouvellement des millions de permis de conduire actuellement en cours de validité et généraliser ainsi la formule «à points».