Plainte contre l'office du bac de Batna La candidate Maâtouk Fadhila, inscrite pour l'année 2006 pour l'obtention du bac mathématiques a attendu jusqu'au 9 juin, à 20 h pour recevoir sa convocation, sans résultat. Subissant ainsi les défaillances de l'office des examens de Batna. En effet, elle a attendu toute l'après-midi au niveau de la direction de l'éducation de M'sila, affiliée à l'office des examens de Batna, suppliant les agents de cette direction de faire quelque chose pour qu'elle puisse passer son examen. Rien n'a été fait, dit-elle en pleurs. Elle est restée jusqu'à 20 h à attendre la fameuse convocation, transmise le jour-même par l'Office des examens de Batna. Là ne s'arrête pas le malheur de Fadhila qui, au lieu de passer son examen dans la filière mathématiques, elle a été orientée vers la filière sciences et vie. Elle devait aussi se déplacer à Bou Saâda pour rejoindre le centre d'examen distante de 70 km en 25 minutes pour arriver au centre d'examen. Ce qui était impossible. Cette élève a déposé plainte au niveau du procureur de la République près le tribunal de M'sila. Allo lance La SMS Mania Allo Ota vient de lancer une nouvelle offre. Du 15 juin jusqu'au 31 juillet, les abonnés d'Allo Ota pourront envoyer des SMS chaque jour et gratuitement à cinq numéros préférés, de 7h à 17h. Cette offre vient égayer l'été qui s'annonce vraiment aux couleurs d'Allo Ota. Allo Ota n'est pas seulement une puce, mais un grand réseau de distribution avec plus de 8000 points de vente, un réseau qui couvre plus de 89% de la population et un service clients opérationnel 7j/7 et 24h/24. Un martyr oublié Tombé au champ d'honneur en 1959, à l'âge de 37 ans, lors d'une bataille qu'il a livrée avec ses compagnons de l'ALN aux sections de l'armée coloniale à Aïn El Hammam, dans la wilaya de Tizi Ouzou, le martyr Amar Mezani n'est pas reconnu jusqu'à présent. Pourtant, les ossements du chahid reposent actuellement au carré des martyrs d'Ighil Bougueni dans l'ex-Michelet (son nom figure bel et bien au monument). En conséquence, la non-reconnaissance officielle de ce martyr prive sa veuve, qu'il a épousée six mois avant sa mort, de ses droits. 44 ans après le recouvrement de l'indépendance nationale, la veuve, sans ressources, ne touche aucune pension, ni indemnité. La veuve du chahid a entrepris plusieurs démarches pour faire valoir ses droits auprès de la direction des moudjahidine de Tizi Ouzou et même auprès du ministère de tutelle, mais sans résultat. Pourtant, les doléances de la veuve Amar Mezani sont appuyées par les témoignages de trois anciens compagnons du martyr. Un notaire et deux accusés acquittés Un notaire et deux autres accusés ont été acquittés hier par le juge près la cour criminelle de Tizi Ouzou, alors que le procureur général a requis contre les mis en cause de lourdes peines allant jusqu'à 10 ans de prison. L'affaire remonte à 1995 et porte sur un contrat de location d'un local où sont impliqués deux coaccusés. Un litige est survenu sur la propriété du local et le notaire résilie le contrat. L'affaire sera alors soumise aux juges. Au cours de l'instruction, deux griefs ont été retenus contre le notaire : infraction administrative et faux et usage de faux, tandis que les deux frères ont été poursuivis pour faux et usage de faux. Lors de l'audience, le juge reproche au notaire d'avoir signé un contrat de location en l'absence de son vrai propriétaire et d'avoir signé la résiliation du même contrat, trois années plus tard, alors qu'en cas de litige, la résiliation relève de la compétence du tribunal qui statue en référé. Dans son réquisitoire, le procureur a requis une peine de 10 ans de prison ferme contre le notaire et cinq ans de prison contre chacun des deux autres accusés. Après délibération, les trois mis en cause ont été acquittés. L'ex-directeur de l'agence foncière de Tizi Ouzou sous mandat de dépôt L'ex-directeur général de l'agence foncière de la commune de Tizi Ouzou, B. H., a été placé, hier après-midi, sous mandat de dépôt par le magistrat instructeur près la cour et son dossier a été transféré au tribunal de Draâ El Mizan, apprend-on de sources sûres. Les charges pesant sur cet ex-responsable, indique-t-on, seraient « détournement de deniers publics et falsification de documents ». Pour rappel, quatre personnes, ayant eu un lien direct avec la gestion de l'agence foncière de Tizi Ouzou, ont été mises en cause par la justice, il y a deux semaines.