La Maison de la Presse de Sidi Bel Abbès, dont l'inauguration remonte à une quinzaine d'années, montre des signes d'alerte d'un délabrement qui risque de s'accentuer. Faute d'entretien, les murs de l'édifice sont affectés par l'humidité, tandis que la faiblesse de l'étanchéité s'est manifestée par l'apparition d'un suintement de l'eau qui n'a pas été sans inonder le couloir donnant accès aux bureaux. A cela s'ajoutent le déchaussement continu du carrelage et l'état calamiteux dans lequel se trouvent les sanitaires. L'absence de commodités, à l'instar du chauffage et de la climatisation, n'est pas en reste.