« Plus que jamais, les représentants des enseignants en grève interpellent les pouvoirs publics pour l'ouverture immédiate des négociations afin de sortir l'université de sa crise profonde. » C'est ce qui ressort d'une déclaration transmise, hier, à notre rédaction, signée par les représentants des sections du CNES des établissements en grève dans différentes villes du pays. Les signataires de la déclaration se disent toutefois « déterminés à poursuivre leur mouvement de grève jusqu'à l'aboutissement de leurs revendications. » Il est rappelé que plusieurs sections du CNES sont en grève dans diverses universités du pays, dont l'USTO, depuis le 13 mai dernier.