Le premier Audi Driving Experience en Algérie a eu lieu le week-end dernier, au site des Grands-Vents à Alger. Et c'est à l'initiative, de Patrice Franck, directeur général de la marque aux quatre anneaux en Algérie, que cette manifestation a eu lieu. L'ancien DG d'Audi France a fait appel, pour la circonstance, à des experts et des formateurs en automobile à l'image de Bruno Arnoud, devenu depuis quelques mois familier dans le milieu des professionnels de l'automobile puisqu'il a animé nombre de «Tech Days» chez Audi Algérie. Cette expérience était aussi une occasion propice aux clients privilégiés d'Audi d'«éprouver la sportivité et l'avance technologique d'Audi à travers le programme Audi Driving Experience, un concept international qui jusqu'à maintenant n'était pas proposé en Algérie», est-il indiqué sur le communiqué de presse. Ainsi donc, sur un parcours de maniabilité ainsi qu'un autre tout-terrain, l'opération consistait à donner l'occasion aux clients «d'éprouver leurs capacités de pilotage à bord des différents modèles de la gamme, à savoir deux SUV Q5, Un Q3, la A3 Sportback 1.8 TFSI, la A3 limousine, ainsi que son modèle sportif, la S3. Les journalistes ont eu droit à une courte formation théorique sur les technologies Quattro, le système d'intégration permanent, l'Audi Drive Select ou les différents systèmes d'aide à la conduite pour «filer» ensuite vers une autre formation, celle du comportement du conducteur, de la position de conduite, des mains au volant, de la projection du regard à la synchronisation du volant-pédale. Bruno Arnoud insistera sur les trois familles de technologies réparties sur le freinage, la maîtrise des accélérations et la stabilité avec un sans-faute. Les journalistes, devenus pilotes l'espace d'une demie journée, se sont bien régalés, sur un circuit bien aménagé, avec les A3 Sportback 1.8 TFSI, et la S3 en tentant de fortes accélérations et évitant les cônes, tout cela avec le comportement du véhicule face à des situations délicates. Mais le «must» était sans conteste, la balade à bord des Q5 et Q 3 sur un circuit en tout-terrain aménagé en «gruyère» pour les franchissements et les situations critiques en hors piste. Il fallait maintenir une vitesse modérée et laisser les multiples systèmes du véhicule faire leur «boulot». En somme, cette initiative louable à plus d'un titre a tenu toutes ses promesses.